@ Catherine ségurane
Cette lamentable affaire est instructive pour plusieurs raisons
1°) Si ce juge est réellement un converti à l’islam, il aurait du se désaisir du dossier, car il y avait manifestement un conflit d’intérêt entre sa religion et l’affaire à juger.
2°) Il y a là un cas manifeste d’entrisme : un fanatique musulman obtient une position de pouvoir ( en l’occurrence de pouvoir judiciaire ) et en profite pour se servir de ce pouvoir non pas dans le respect des lois pour la défense desquelles il est censé avoir acquis ce pouvoir, mais dans l’intérêt d’un autre système législatif, la chariah, lequel s’oppose en tous points au système législatif américain, basé sur une Constitution.
3°) Si un jour, les musulmans devenaient majoritaires ou presque dans n’importe quelle démocratie, c’en serait immédiatement fini du système démocratique, puisque les juges ne jugeraient plus selon les lois votées par le peuple ou ses représentants, éclairés par la raison et la déclaration des droits de l’homme, mais se croiraient autorisés à juger en fonction de la chariah, code juridique inspiré par le livre prétendument émanant d’ un dieu, écrit par un chamelier délirant du début du moyen âge.
4°) Il est heureusement plus que probable que ce jugement soit cassé en appel, mais ceci va coûter au justiciable une fortune en frais d’avocat...
5°) Il faudrait que la France se dote d’urgence d’une sorte de premier amendement à l’américaine. La liberté d’expression est notre bien le plus menacé à l’heure actuelle, et les sombres manigances de l’OCI, qui trouvent malheureusement une oreille plus que complaisante avec le très islamophile Barack Hussein Obama, semblent une menace de plus en plus grave pour la liberté dans le monde.