ps : oops... un petit oubli entre "Cette énergie inconnue
représenterait 75 % de l’énergie totale de l’Univers.« et »Dans
tous les cas, il est indispensable de déterminer la nature de cet
Ensemble.«
»Dans
les deux cas, c’est surtout la Force Gravitationnelle qui est mise en
avant et à contribution dans les modèles classiques. Il est dommage par
ailleurs que la Force Electromagnétique -
son influence sur un niveau d’ensemble - ait été en partie laissée
pour compte. Certes la Gravitation porte sur des distances gigantesques,
mais les productions et interactions EM liées aux
différents corps cosmiques, à chacune des échelles respectives, doivent certainement jouer un rôle et engendrer des conséquences non
négligeables à proportion globale.
Il reste encore bien des choses à découvrir sur la forme d’énergie
primordiale qui sous-tend le Cosmos. Les scientifiques prennent leur mal
en patience, et certains par exemple tentent en vain
d’unifier Relativité Générale et Physique Quantique. La Théorie des
Cordes apparaît alors pour d’autres comme la solution miracle, cependant
l’échelle des interactions concernées
est tellement infinitésimalement petite (de l’ordre de la Longueur
de Planck 1,616 x 10E-35 m) qu’aucune expérimentation ne permettra d’en
avoir le coeur net avant très longtemps.
La topologie exacte de l’Univers reste également inconnue, ainsi que
ses véritables dimensions.
Des modèles cosmologiques s’inspirent des ’univers-bulles’ ou
’multivers’, en adéquation avec les échanges d’énergie entre trous noirs
via leur singularité, déchirement et déformation
extrême de l’espace-temps (trou de ver/pont Einstein-Rosen). Sur un
certain aspect ces modèles spéculatifs se rejoignent avec d’autres basés
sur les fractales, un univers façon ’poupées
russes’, des structures sous-jacentes qui se répètent depuis le
nanocosme jusqu’au macrocosme et vice versa. D’autres modèles avancent
l’idée d’une ’cristallisation’ de l’Univers... ou
’holographie’ de l’Univers, la projection d’une ’source algorithmique’ s’exprimant via les
dimensions au gré de ’densités’ diverses dont la nôtre."