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Commentaire de Aleth

sur A Universe from Nothing Par Lawrence M. Krauss


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Aleth Aleth 26 février 2012 18:30

ps : oops... un petit oubli entre "Cette énergie inconnue représenterait 75 % de l’énergie totale de l’Univers.« et »Dans tous les cas, il est indispensable de déterminer la nature de cet Ensemble.« 

 »Dans les deux cas, c’est surtout la Force Gravitationnelle qui est mise en avant et à contribution dans les modèles classiques. Il est dommage par ailleurs que la Force Electromagnétique - son influence sur un niveau d’ensemble - ait été en partie laissée pour compte. Certes la Gravitation porte sur des distances gigantesques, mais les productions et interactions EM liées aux différents corps cosmiques, à chacune des échelles respectives, doivent certainement jouer un rôle et engendrer des conséquences non négligeables à proportion globale.

Il reste encore bien des choses à découvrir sur la forme d’énergie primordiale qui sous-tend le Cosmos. Les scientifiques prennent leur mal en patience, et certains par exemple tentent en vain d’unifier Relativité Générale et Physique Quantique. La Théorie des Cordes apparaît alors pour d’autres comme la solution miracle, cependant l’échelle des interactions concernées est tellement infinitésimalement petite (de l’ordre de la Longueur de Planck 1,616 x 10E-35 m) qu’aucune expérimentation ne permettra d’en avoir le coeur net avant très longtemps. La topologie exacte de l’Univers reste également inconnue, ainsi que ses véritables dimensions.

Des modèles cosmologiques s’inspirent des ’univers-bulles’ ou ’multivers’, en adéquation avec les échanges d’énergie entre trous noirs via leur singularité, déchirement et déformation extrême de l’espace-temps (trou de ver/pont Einstein-Rosen). Sur un certain aspect ces modèles spéculatifs se rejoignent avec d’autres basés sur les fractales, un univers façon ’poupées russes’, des structures sous-jacentes qui se répètent depuis le nanocosme jusqu’au macrocosme et vice versa. D’autres modèles avancent l’idée d’une ’cristallisation’ de l’Univers... ou ’holographie’ de l’Univers,
la projection d’une ’source algorithmique’ s’exprimant via les dimensions au gré de ’densités’ diverses dont la nôtre."


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