COMMUNIQUÉ DU BUREAU
NATIONAL DE L’UPR
LE CSA DONNE RAISON À L’UPR : LES MÉDIAS DOIVENT
RENDRE COMPTE EN URGENCE DE LA CANDIDATURE DE FRANÇOIS ASSELINEAU À L’ÉLECTION
PRÉSIDENTIELLE.
La candidature de François Asselineau à
l’élection présidentielle a été officiellement déclarée le 3 décembre 2011.
Elle s’est accompagnée de la présentation d’un programme présidentiel, qui est
généralement jugé par tous les esprits impartiaux et de bonne foi qui l’ont
visionné, comme le plus cohérent, le plus précis, le plus pédagogique, le plus
juridiquement irréfutable, le plus techniquement fiable, et le plus
radicalement novateur de tous les autres programmes présentés aux Français.
Pourtant, cette candidature est systématiquement passée sous silence dans tous
les grands médias audiovisuels de notre pays.
UN SILENCE TOTAL SUR LA SEULE
CANDIDATURE DE FRANÇOIS ASSELINEAU
Selon les relevés chiffrés du CSA, les temps de parole et d’antenne cumulés,
consacrés par toutes les télévisions françaises aux candidats déclarés à la
présidence de la République entre le 1er et le 27 janvier 2012 ont été les
suivants :
3626 minutes pour François Hollande (plus de 60 heures)
3450 minutes pour Nicolas Sarkozy (plus de 57 heures)
913 minutes pour François Bayrou (plus de 15 heures)
722 minutes pour Marine Le Pen (plus de 12 heures)
568 minutes pour Jean-Luc Mélenchon (plus de 9 heures)
484 minutes pour Eva Joly (8 heures)
202 minutes pour Hervé Morin (3 heures 20 minutes), qui n’est plus candidat
186 minutes pour Dominique de Villepin (3 heures)
114 minutes pour Nicolas Dupont-Aignan (2 heures)
108 minutes pour Nathalie Arthaud (1 heure 48)
101 minutes pour Christine Boutin (1 heure 40), qui n’est plus candidate
92 minutes pour Corinne Lepage (1 heure et demi)
36 minutes pour Philippe Poutou
9 minutes pour Frédéric Nihous, qui n’est plus candidat
et 0 minute 0 seconde pour François Asselineau
Ce silence total fait fi des invitations que nous avons lancées à des centaines
de journalistes à l’occasion de notre Congrès, de nos sollicitations incessantes
avant et après, et des 58 lettres recommandées avec accusé de réception
envoyées voici un mois à la rédaction des 58 plus grands médias français.
Ce silence assourdissant, qui est également respecté par la grande presse
nationale, viole expressément les exigences d’ « équité » de traitement
entre les candidats déclarés, pendant la recherche des parrainages, telles
qu’elles ont été édictées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
En effet, suite à notre saisine expresse, M. Michel Boyon, président du CSA, et
Mme Christine Kelly, présidente du groupe de travail "Pluralisme et
campagnes électorales" du CSA, ont bien voulu nous confirmer, par écrit
(voir [la lettre du président du CSA->www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/2012/02/PRESIDENTIELLE-Lettre-du-CSA.pdf
]) et par oral, que la candidature de François
Asselineau devait bénéficier de ces dispositions.
Le silence sans faille de tous les grands médias du pays sur la candidature de
François Asselineau est d’autant plus intolérable et choquant que ces mêmes
médias accordent, en cette période de pré-campagne présidentielle, une
couverture nationale à des candidats fantaisistes (Kenza Drider, alias "la
candidate en niqab« , David Derrien, alias »Dédé l’abeillaud",
Isabelle Laeng, alias « Cindy Lee », etc.), ou à des candidats isolés
n’ayant ni parti politique ni sympathisants pour les soutenir (Maxime Verner,
Clément Wittmann, etc.), ou même à des responsables politiques qui ne sont pas
candidats déclarés.
LA RAPIDE ASCENSION DE LA NOTORIÉTÉ DE
FRANÇOIS ASSELINEAU
ET DES ADHÉRENTS DE L’UPR REND D’AUTANT PLUS ILLÉGITIME ET CHOQUANT LE SILENCE
MÉDIATIQUE QUI LES FRAPPE.
L’Union Populaire Républicaine (UPR) rappelle qu’elle compte maintenant plus de
1 200 adhérents (ce chiffre exact peut être vérifié par huissier) et des
dizaines de milliers de sympathisants.
Sa notoriété sur Internet ne cesse de croître, que ce soit via [son site
officiel->http://verite-transparence.blogspot.com/2012/01/notoriete-internet-des-partis_22.html
].
Plus de 250 sympathisants et adhérents recherchent des parrainages depuis
plusieurs mois, et les réunions publiques que François Asselineau tient dans
toute la France attirent de plus en plus de monde. [Son programme
présidentiel->http://www.dailymotion.com/video/xmsihw_presidentielle-2012-le-programme-de-francois-asselineau-president-de-l-upr-1-10_news
] a déjà été visionné plus de 45 000 fois sur le seul
vecteur Dailymotion.
Les deux seuls passages du président de l’UPR sur des télévisions ayant une
audience significative ont été réalisés à l’automne dernier. Ils ont obtenu des
scores de visionnage et d’approbation qui ont stupéfié les journalistes
eux-mêmes.
Ainsi, [son débat sur BFM Business->http://www.dailymotion.com/video/xl4vmd_francois-asselineau-invite-de-nicolas-doze-sur-bfm-business_news
] à la mi-septembre a obtenu plus de 26 000 visionnages sur Dailymotion depuis lors et [celui sur France 24->http://www.dailymotion.com/video/xmkspo_la-semaine-de-l-eco_news
] plus de 15 000 visionnages. Dans
les deux cas, ces scores propulsent les vidéos de François Asselineau au tout
premier rang des historiques des émissions. Ils laissent très, très loin
derrière, les scores obtenus par les autres responsables politiques français
invités à ces mêmes émissions.
Pour tout observateur loyal et de bonne foi, tous ces éléments vérifiables
rendent nos demandes à l’égard des médias absolument légitimes et fondées.
POURQUOI LES JOURNALISTES POLITIQUES DES
GRANDS MÉDIAS
DU PAYS REFUSENT-ILS IMPUNÉMENT D’APPLIQUER
LES INSTRUCTIONS DU CSA ?
Nous savons du reste, par des indiscrétions, que tous les grands journalistes
politiques français ont une excellente connaissance de qui est François
Asselineau, de ce que comporte son programme, et de l’envol de sa notoriété sur
Internet. Il est d’ailleurs normal qu’ils le sachent puisque la surveillance
des évolutions politiques en France constitue le cœur même de leur métier.
La question décisive qui se pose est donc de déterminer pourquoi ils s’obstinent
à refuser d’accorder à François Asselineau la couverture médiatique équitable à
laquelle le CSA lui-même a dit qu’il avait droit.
Cette absence de couverture médiatique n’est pas seulement un déni de
démocratie handicapant en soi pour mener campagne. Elle se transforme en
obstacle redoutable dans la recherche des 500 parrainages car les élus hésitent
à parrainer un candidat totalement absent des médias d’audience nationale.
Et plus le temps passe, plus cette absence médiatique totale est interprétée
par les maires des petits villages comme le fait que François Asselineau n’est
pas candidat pour de bon. Et comme les maires sont déjà les cibles de pressions
multiples pour qu’ils nous refusent des parrainages, et que ces parrainages
sont ensuite rendus publics, il y a désormais un risque réel et sérieux que
François Asselineau ne puisse pas obtenir le nombre de parrainages nécessaires
pour être candidat.
Nous allons donc finir par croire que c’est justement cette issue que
recherchent les grands médias de notre pays, ou en tout cas les forces
politiques, économiques et financières qui les dirigent. S’agirait-il d’une
nouvelle application des techniques de « prophétie auto-réalisatrice »
mises au point par les manipulateurs d’opinion ? Des techniques qui peuvent
être appliquées pour imposer un candidat, comme pour en écarter un autre.
Quoi qu’il en soit, en organisant un verrouillage absolu autour de la
candidature de François Asselineau, les grands médias l’empêchent de fait
d’obtenir les 500 parrainages fatidiques. Il sera alors fort commode de se
dédouaner ensuite en se prévalant du fait que François Asselineau ne méritait
pas qu’on lui donne la parole puisqu’il n’a pas pu réunir les parrainages
nécessaires.
CONCLUSION : L’URGENCE ABSOLUE DE PASSAGES
MÉDIAS
La période de recherche des parrainages prend fin dans deux semaines.
La mobilisation de nos adhérents et de nos sympathisants ne faiblit pas, bien
au contraire, mais sans couverture médiatique, la tâche est pratiquement
insurmontable.
Nous demandons donc une nouvelle et ultime fois aux journalistes des grands
médias audiovisuels de rendre compte loyalement de la candidature de François
Asselineau, comme le CSA les y a invités formellement. Compte tenu des délais,
il y a désormais une urgence absolue.
Si le silence médiatique ne cesse pas dans les tout prochains jours, les
milliers de sympathisants de l’UPR, dont le flot grandit quotidiennement,
sauront définitivement à quoi s’en tenir sur ce qui reste de la démocratie en
France.
Bureau National de l’UPR
Pour obtenir des informations ou solliciter une interview, veuillez écrire à
l’adresse suivante : [email protected].
Nous répondrons dans les minutes qui suivent aux journalistes qui nous auront
contactés.
http://www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/2012/02/PRESIDENTIELLE-Lettre-du-CSA.pdf
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