ASTRA le fabricant de l’hypercholestérolémie généralisée recherches financées par soi-même, soignée avec des graisses végétales hydrogénées.
Bonne nouvelle que ces dégraissages successifs.
Il est temps de faire preuve d’imagination pour le futur concernant l’industrie pharmaceutique.
A vos calculettes (il y en a une dans les utilitaires) :
On nous dit que la recherche de nouvelles molécules coûte très cher et que c’est la raison pour laquelle les nouveaux médicaments coûtent très chers.
Or si je ne m’abuse et vous avec moi, ces labos bénéficient de crédits d’impôt pour les dites recherches qui leur coûtent si cher.
C’est le phénomène gagnant-gagnant (tout comme « fumer plus pour travailler plus et se faire ponctionner toujours plus ») : comme il s’agit bien sûr de nos impôts, ces crédits d’impôt devraient donc faire de ces nouveaux médicaments, des médicaments au même prix que les anciens.
Nous payons deux fois cette haute recherche de ces fieffés coquins !
Car, à vos calculettes : où se trouve la différence ?
x - y = le prix théorique du médicament
x = le prix théorique du médicament + sa publicité
y = la publicité
vos impôts servent à faire de la publicité
et au final on vous rajoute y dans le prix final du médicament
gagnant (pour les actionnaires) = y de vos impôts
gagnant (pour les actionnaires) = y de la sécu (vos cotisations sociales)
gagnant + gagnant = 2 y
Aux candidats : nonobstant notre qualité de cobaye (qui ferait passer à 3y le gain de l’industrie pharmaceutique par ce que ça coûte en frais de ratage aux hôpitaux de soigner avec ces « nouvelles » molécules et donc à nos cotisations sociales), ne serait-il pas normal
soit de supprimer la publicité
soit - et on peut en discuter - d’utiliser les crédits d’impôts au travail qui consiste à étudier de près ces fameux médicaments, et à éviter leur prescription pour n’assurer que le confort des labos pharmaceutiques.
Allez je ne suis pas une obsessionnelle des calculs les plus justes, je laisse aux économistes bien renseignés sur le coût des médicaments, le soin de rapatrier les fonds qui nous reviennent sans emprunter ce chemin détourné et dangereux.
Et puis, pourquoi ne pas récupérer en Industrie Nationale, la fabrication des génériques puisque les Brevet sont tombés - sans faire de bruit, dans le domaine public qui comme chacun sait est « PUBLIC »