A Lamoragne, je vous sens perturbé par mes argument parce que votre réplique botte en touche sans conviction. Ce seraient des « non parisiens » qui voteraient Hollande à Paris ? Peut être....
N’empêche que la primaire aussi on a su que c’étaient les habitant des centre ville qui ont voté.
Et la thèse du « sous prolétariat » où même seulement du « peuple » nom que l’on donne à gauche en public à ceux que l’on nomme les bacs moins 3 en privé) domicilié dans le 5ème arrondissement....
Aujourd’hui, a 57% de PIB dépensé par l’État, être « riche », ou plutôt vivre plus ou moins bien au quotidien, pour l’essentiel de la population, dépend surtout du rapport à la dépense publique que l’on a.
Payeur net ou profiteur net.
Y échappent peut être Madame Bettancourt et les trois mille autres que Hollande veut taxer symboliquement. C’est pour cela que le PS nous en parle tellement.
Les 11 milliards de francs de dépense fiscale au bénéfice de leur clientèle électorale ( voir la répartition de la cagnotte fiscale), on en parle moins. ( 5 fois le bouclier au bas mot).
Si vous aviez un peu de culture marxiste, vous sauriez que les gens votent en fonction de leurs intérêt de classe, surtout quand ils ont un certain niveau culturel et savent compter.
Aujourd’hui, la classe moyenne supérieure a statut des centre de ville vote Hollande. En masse, elle détient l’essentiel des revenus et du patrimoine malgré tout. Elle nous parle beaucoup de Bettancourt en admettant que la taxer ne rapportera pas grand chose. Elle se garde de nous dire qui payera pour son programme de classe. Ce ne peut pas être un hasard. Maintenant, en démocratie, il n’y a pas d’égoïsmes illégitimes. Vous avez le droit d’être dans le camp des profiteurs. Mais quand même. Bettancourt elle vit bien avec son argent. Eux vivent mieux grace au notre, et dans le même temps, il y a 8 millions de personnes dans la difficulté. Eux ne votent guère. C’est pour eux pourtant que Sarko a fait les exonérations de charge sur les heures sup.
Décidément, il est bien vrai que la gauche n’aime pas les riche et que la droite n’aime pas la pauvreté. Chacun lutte pour ce qui l’intéresse le plus.