Soit l’opinion publique relève fièrement le regard, et tient la dragée
haute aux instances décisionnelles actuelles : pour cela nous devons
replacer les Nations au cœur du dispositif européen, en exigeant que ce
débat ait lieu, et qu’il ne soit pas amalgamé à un desiderata de
l’extrême droite.
Ce qui a été possible en Islande ,pays de 320000 habitants le serait-il en France avec 65000000 hbts ?
et encore ,ça ne semble pas une réussite totale : http://www.p-plum.fr/IMG/article_PDF/article_a103.pdf , loin de là !
Les assujettis au crédits et à la consommation que nous sommes ont-ils conscience que pour changer le processus démocratique au sein de chaque pays européens, il faudrait une autre appréhension du politique et que cela passerait par l’élaboration d’une constituante ; les a t-on préparé depuis 45 ans à un changement de paradygme ?
envisagent -ils seulement la notion de réappropriation par le peuple des destinées politiques et économiques de leurs intérèts spécifiques ?
Sortir de l’Europe en faisant confiance aux « actuels artistes » de la politiques française qui ont verrouillé les institutions qui à la tète de leurs états respectifs qui à l’Europe
en siégeant comme député ou en dirigeant les institutions fédérales de manière soviétique ;
qui peut croire qu’un pouvoir nominatif en France aurait le courage et l’honneteté de renoncer à ses avantages financiers en s’attaquant à l’ énorme chantier que constituerait l’élaboration d’une nouvelle constitution une fois élu, qui peut croire cela ?
qui peut croire en France quand on se penche sur le cas grec , lorsque Papandréou ,aux abois ,a proposé un réfferendum de la dernière chance qui a été boycotté avce force pression de la part des uns et des autres , qui peut croire en France mais surtout, qui cherche à nous faire croire ici , lorsqu’on l’on sait ce qu’il est advenu du vote des citoyens en 2005 ?
et pourtant ...