Vous écrivez : « Soit l’opinion publique relève fièrement le regard, et tient la dragée
haute aux instances décisionnelles actuelles : pour cela nous devons
replacer les Nations au cœur du dispositif européen, en exigeant que ce
débat ait lieu, et qu’il ne soit pas amalgamé à un desiderata de
l’extrême droite. »
Puis : « La profusion de décisions et autres règlements émanant de l’Union
européenne enferme jour après jour cette dernière dans une bureaucratie
administrative mortifère qui n’a rien à envier à l’ex URSS. Et au profit
de qui sinon des institutions bancaires et financières mondiales ? »
Comment faites-vous pour être autant inconsistant qu’incohérent ? Mystère, mais vous frôlez tous les records établis. Au fait, n’était-ce pas l’Europe néolibérale et non pas la bolchevique, l’ennemie du populos ? De toutes manières, je vous remercie d’avoir, une fois de plus, vérifié le vieil adage qui conseille la plus grande méfiance envers tout discours commençant par la, plus vieille encore, tournure :
« ...dans le folklore intellectuel ambiant, celui-ci se verrait vite qualifier de
toutes les pires intentions fascistes et xénophobes en tout genre... bla bla bla... mais je n’en suis pas ». Aïe, j’en pleure de rire, de vos larmes de crocodile fascistoïde.