Vous faites une double erreur :
il y a 190000 étrangers (dont un tiers provenant de l’UE) qui entrent de façon régulière en France par an, mais aussi environ 100000 quittent la France...
En 2010, l’immigration légale en France a augmenté d’environ 10,6 % en un an, à 188 780 arrivants, sous l’effet notamment d’une forte hausse du nombre d’étudiants étrangers, d’après des statistiques de FTA et de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII). Ce chiffre global comprend l’immigration familiale (81 100 personnes, 4 % de plus qu’en 2009), l’immigration professionnelle (31 500 personnes, stable), le droit d’asile (10 340, stable) et les étudiants (65 840 personnes, en augmentation de 28,5 %). L’impact au niveau du marché du travail est donc faible. En terme de solde migratoire, le résultat est quasi nul (car des Français partent aussi), moins de 10000 par an.
Sur la responsable d’association, il n s’agit pas de personnes diplômés d’origine étrangère, mais de français d’ethnies non européenne. Par exemple d’origine antillaise... La question était donc bien la lutte contre la discrimination, sans lien avec la nationalité. On peut imaginer beaucoup de mesures de lutte contre cette discrimination, comme pour les autres, sans parler de quota ; c’était uenperche tendue à MlP, qui s’est enferrée maldroitement sur ce sujet.