@ Gedehem,
Rajoutez en effet aux très nombreuses questions que je vous pose la suivante : Pourquoi avoir condamné Mossatadeq pour complicité de meurtre uniquement des passagers et membre d’équipages ?
J’ai cherché sur le net n’ai pas pu trouver de réponse. Il y a incontestablement un « twist » que l’on ne pourrait résoudre qu’en prenant connaissance de l’arrêt de la Cour fédérale, que je n’ai pas pu trouver sur le net. J’avoue ne pas maîtriser la langue de Goethe.
Certains articles de presse prétendent que le Président de la Cour aurait admis qu’il était démontré que M. avait connaissance de l’existence de cibles mais sans que l’on puisse déterminer lesquelles. C’est le cas des journaux anglophones au lendemain de l’arrêt du 16 novembre 2006. Au contraire France 2 affirme que la Cour n’avait pas été capable de démontrer l’intention réelle de lancer les avions sur des cibles civiles.
Les sources divergent entre elles mais je pense que dans les deux cas, Mossatadeq aurait dû être condamné pour complicité de meurte de toutes les victimes, en ce compris celles qui ont été piégées dans les tours.
A partir du moment où la Cour prétend être à même de démontrer que M a aidé et facilité Atta et ses compagnons à apprendre à piloter des avions et qu’il savait que cet apprentissage servirait à les utiliser comme des missiles pour faire des pertes humaines, il se rend complice du meutre de tous ceux qui en périssent, qu’ils soient ou non dans les avions...
Je serais le parquet ou l’avocat des victimes, je ne me gênerais pas pour introduire un recours en tout cas.
Il y a une incohérence majeure dans cet arrêt à première vue...
A moins qu’une autre raison ait amené le Président à remettre en cause le lien de causalité entre le décès des occupants des tours et le crash des avions détournés. On pourrait penser évidemment aux détonations de bombes ou à la démolition contrôlée des immeubles dont on aurait tu l’existence dans l’enquête officielle (tout de même dénommée par le FBI, PENTTBOMB) malgré de nombreux témoignages en faisant état.
Ce n’est qu’une hypothèse comme une autre. A creuser...