Pourquoi devrions-nous répondre sur le fond, Monsieur Quirant ?
L’avez-vous fait de votre côté à
cette réponse à votre super dossier de l’AFIS qui allait dissiper tous les doutes sur la pseudo-controverse scientifique ?
Si
vous aviez été mû par autre chose qu’une attitude puérile de casser du
sucre sur le dos de scientifiques à qui vous n’avez jamais pris la peine
d’écrire directement, vous auriez attendu la publication de l’article
dans une revue peer reviewée que vous nous annoncez à grands fracas,
voire même, on peut rêver, la réponse donnée par les auteurs dont vous
mettez en cause l’honnêteté avec des éléments mince comme du papier à
cigarettes...
De mon côté, je vous ai surpris à de multiples reprises ici-même en flagrant délit de mensonge, de désinformation et de fuite.
Je
sais comme les 90% des gens qui ont voté contre votre article, qu’il
n’y a rien de scientifique à attendre de votre regard critique d’un
article commandé par debunker et écrit par un scientifique qui souffre
d’un manque flagrant d’indépendance par rapport à une problématique
susceptible de rejaillir sur la validité de son travail antérieur
effectué pour la sinistre Agence environnementale, responsable d’un
cover up mémorable quant à la toxicité des poussières.
J’attendrai
donc de me faire une opinion définitive sur la qualité des expériences
réalisées par les uns et les autres à propos des chips rouges. Je
signale que M. Basile est actuellement en train de finaliser ses
recherches indépendantes de celles de l’équipe de Harrit et qu’il semble
maintenir ses premières conclusions, elles-même déduites d’expérience
non réalisées à partir d’une DSC.
En toute hypothèse, avec ou sans
chipitos, votre défense à tout prix et sans nuances de la version
gouvernementale est extrêmement maldroite, voire supecte et a, j’en suis
certain, eu l’effet inverse de celui que vous escomptiez : Maintenir le
public le nez dans le guidon de la fable officielle...Je
me vois dès lors contraint de vous remercier (eh oui !) pour votre pugnacité.
Ceci étant, certains commentateurs critiquent déjà l’étude de Millette outre-atlantique. Une parmi d’autres émane de ce site.