... arrive à son terme...
j’entends bien à mon tour que vous puissiez parler de modifications locales imprédictibles dans ce contexte. mais dans un système global, planétaire, il y a bien un modèle ou vous outrepassez le modèle.
ce que j’ai essayé faire comprendre, c’est que la passage du réversible à l’irréversible est du fait du dépassement des paramètres limites du système. aucun système complexe n’est réellement infini, même l’Univers lui-même et c’est pour cela qu’il est en expansion et qu’il y a eu le big-bang. ce n’est pas parce que ça échappe à notre pauvre intellect que cela doit être infini.
C’est comme ça que Dieu est venu au monde en s’imposant avant la science. A force d’expliquer sans expliquer ce qu’on ne comprend pas tout en expliquant pourquoi il ne faut pas chercher à comprendre...
Je me fais comprendre ?
A force de matérialiser le déni de ne pas comprendre la mort, le temps, l’espace... et donc de dire qu’il y a dieu pour expliquer sans expliquer cela : cela devient de la théologie, donc de la croyance.
Quand vous affirmer l’infini de la nature vous faites de la théologie. Dieu reconnaitra les siens, amen ! il règlera tout (même si l’appelez mère nature « matri mara »).
Jusqu’à ce qui les mathématiques arrivent et que dieu ne soit réduit qu’à une hypothèse... Le réchauffement climatique n’est plus une hypothèse dans la mesure ou le « système global » de la planète a atteint les limites des paramètres naturels.
C’est ça la réalité. et c’est bien de la science et non de la croyance ou le constat de l’incapacité à prédire le modèle normal. On s’en fout car il ne l’est plus !