@John_John
Les fondamentaux de l’économie
reposent sur des lois humaines, non naturelles. Dés lors il semble nécessaire de faire preuve de discernement entre les postulats
pertinents et ceux douteux, présentés par les économistes. Ainsi,
il est impossible de mesurer ou calculer la valeur d’un bien, service
ou du capital humain(connaissances et compétences de l’individu) pour
la simple est bonne raison que celle-ci peut être subjective ou/et
objective.
Néanmoins, la pensée économique
dominante à trouvé un moyen de contourner cette difficulté, par
une vision marchande de la valeur, qui elle est purement subjective.
L’exemple du musicien ou du sportif est
discutable, relevant du talent (objectif et subjectif). La productivité n’est pas illimité,
il existe toujours un point mort, ou taille critique « physiologique ».
Les faits sont là :
- La croissance en France est nourrie par
la consommation et l’endettement des ménages paupérisés et de la
classe moyenne.
- La fiscalité est dégressive, via les
niches fiscales et les paradis fiscaux(permettant accessoirement la
fuite de l’épargne ou du capital des plus riches). L’impôt
confiscatoire pour les plus riches est une légende...la TVA par contre confisque.
- La majorité des entreprises en France
sont des tpe, pme, artisans/com etc...qui fournissent la majorité
de l’emploi.
- L’investissement est aujourd’hui
financé par le crédit(création monétaire) et non par l’épargne
qui dort à Singapour ou au Iles vierges britanniques...
Je reviens à mon premier commentaire,
un individu qui gagne 1million d’euros apparaît comme un parasite
au sein d’une communauté de 65 millions d’individus dont le revenu
médian est d’environ +1600 euros. Sa propension marginal à consommé est décroissante, il paye peu d’impôt et place son surplus de revenu à l’étranger.