Pour l’instant, je vais répondre à votre dernier message, je ne sais pas encore par quel bout prendre ce que vous dites sur l’État, la Banque Centrale et le système bancaire privé.
Vous dites : « Le gros prblèmes en filigrane c’est : comment responsabiliser ces traîtres (je ne vois pas d’autres mots) de politicards ? »
Pourriez-vous envisager un panorama un peu moins manichéen où les rôles de victimes et de bourreaux ne soient aussi clairement attribués et exclusifs les uns des autres ? N’y aurait-il pas une simplification conceptuelle dans ce schéma d’une poignée de méchants avares contrôlant la vie des peuples et des nations ( oui, on connaît la musique de la fausse citation attribuée à Rockefeller, donnez-moi le contrôle de la monnaie... et patati et patata... et je serai Robur le Conquérant ! ) ?
Par exemple, les acteurs des marchés financiers, qui sont-ils ? Pensez-vous impossible que vous puissiez en faire partie, vous aussi ? Une piste : assurances, fonds de retraites complémentaires, crédits hypothécaires...
« Il
faut qu’ils rendent des comptes. Donc on pourrait peut être penser à
créer une sorte de bilan tous les 3 ans pour juger de l’activité et
résultats de tel homme politique. Si le bilan est mauvais, et bien il
arrête la politique, il va faire autre chose. »
Bonne idée, cela s’appelle campagne électorale. Tous les trois ans, c’est nouveau.