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Commentaire de morice

sur Sauver le capitalisme : s'en remettre à ses seins, plutôt qu'à Dieu (XXIII)


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morice morice 16 mars 2012 12:00

..Il faudrait que l’auteur fasse des articles encore plus longs, car on n’a que cela à faire...L’article est trop clair et trop bref, ce qui est clair s’exprimant clairement...



même pour dire ça vous êtes confus et trop long....

http://www.agoravox.fr/auteur/dan29000

lisons ici-même votre prose :



http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/licenciements-facebook-de-quoi-85698

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/abstention-a-53-de-quoi-est-elle-71630

citation sur l’un des deux :

http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/licenciements-facebook-de-quoi-85698

Dan 29000 
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La Blaiserie : licenciés après des propos sur Facebook
Deux salariés du centre socioculturel de la Blaiserie ont été licenciés
en octobre après avoir tenu sur Facebook des propos jugés douteux.

Les réseaux sociaux sur Internet, et singulièrement Facebook, s’invitent de plus en souvent dans le monde du travail, y compris à Poitiers. Deux salariés du centre socioculturel de la Blaiserie ont été licenciés en octobre dernier après avoir tenu sur Facebook des propos jugés injurieux pour une partie du public et du personnel de leur employeur. Dominique Durand, directeur du centre social de la Blaiserie, ne souhaite pas, du moins pour l’instant, en dire davantage sur cette affaire. Mais il confirme implicitement ces deux licenciements directement liés à des écrits sur Facebook. « C’est une période encore récente qui m’a beaucoup marqué. On est quand même dans des cas de licenciements pour fautes graves. Et l’affaire concerne deux salariés. Je ne souhaite pas m’étendre pour le moment sur le sujet, c’est encore trop frais... » De son côté, Nathalie Rimbault-Raitière, adjointe aux maisons de quartier, observe la même discrétion sur le dossier : « Je ne veux pas m’exprimer à la place de l’association. », lâche-t-elle simplement. 
Ces dernières semaines, les affaires de licenciements liés à des messages postés sur les « murs » de Facebook se sont multipliées. Le 19 novembre dernier, le conseil des prud’hommes de Boulogne-Billancourt avait jugé « fondés » les licenciements de deux salariés de la société d’ingénierie Alten, à qui il était reproché d’avoir critiqué leur hiérarchie sur Facebook : une première qui pourrait faire jurisprudence. Le réseau social aux 500 millions d’utilisateurs subit régulièrement des critiques sur sa politique de confidentialité. Mais les salariés doivent désormais prendre conscience qu’il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d’écrire sur un « mur » certes virtuel mais souvent accessible à plus de monde qu’on ne croit...

Frederic DELAGE

Source : Centre presse

Citation aussi longue que l’article : y’a pas, vous pouvez donner des conseils...

ah ah ah !!! trop fort le donneur de leçons !

le site du conseiller es-rédaction :
http://danactu-resistance.over-blog.com/

un peu confus, le site, non ??? et beaucoup de blablah...


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