A Bernard :
Oui, je m’en rends bien compte, et vous avez raison, mais j’avais précisé les associations qui exercent une censure intimidante qui empêche le libre débat démocratique, surtout depuis que la loi Pleven de 1972 donna aux associations le droit de se substituer au Procureur. Pour ces associations, spécialistes dans la traque aux « racistes », « xénophobes », etc., la chasse aux paroles et aux écrits susceptibles de tomber sous le couperet de ces lois liberticides est une aubaine, un fonds de commerce. On peut, évidemment, douter de la représentativité réelle de ces collectifs. Au nom de qui parlent-ils ? Ne sont-ils que le porte-voix d
’une minorité radicale qui ne reflète pas l’opinion des musulmans, des homosexuels, des noires etc. ?
Les associations qui veillent aux actes et paroles racistes ou diffamatoires sont généreusement subventionnées par l’Etat, c’est à dire par le contribuable. Au titre de l’exemple, le Journal officiel a publié les comptes de SOS Racisme. SOS Racisme a reçu 579 000 euros de subventions publiques en 2009 alors que le montant des adhésions plafonne à 18 669 euros. Au total 579 000 euros sont tirés de la poche du contribuable. Soit 64% des recettes de l’ association. Contre 18 669 euros pour les adhésions qui représentent 2% des recettes. Ces montants ne tiennent évidemment pas compte des aides publiques allouées aux sections locales de SOS Racisme.* …
*Source : observatoiredessubventions.com