iCe qui, avec un sourire tranquille, me semble toujours étonnant, est la volonté des gens de prendre parti pour un système dit « démocratique » d’échange d’idées, mais qui en soi n’est que la prolongation de la possibilité d’émettre des idées pro ou en réaction aux idées d’élites ou en devenir. S’agit il du débat démocratique ? S’agit il d’un débat d’idées que chacun s’accapare comme étant similaire aux siennes ou à l’inverse ? Mais à quoi mène tout ce développement d’énergie si ce n’est d’évoquer un refoulement des valeurs propres à chacun ce nous, si différents et si semblables. Tout ce qui mène à ce genre d’échanges n’est induit que par l’existence d’une valeur, l’argent, qui de ceux qui semblent en avoir le plus besoin, y ont de moins en moins l’accès. Comment croire, puisqu’il s’agit de théologie politique, comment croire que l’un ou l’autre puisse changer réellement des choses qui on mit des décennies à se mettre en place et qui, s’il n’y a pas une transformation radicale au niveau mondial, ne feront que s’intensifier dans leurs problématiques. Alors que puis je voter pour cet égo ci, ou là, qu’est ce un pion national sur un échiquier mondial qui ne peut pour son appétit vorace de bénéfice, accepter qu’un pays productif ne fasse bande à part, sous peine de le mettre à la marge. Petit pays, petit esprit suis je tenté de dire, mais chacun voudrais que se résolvent les problèmes d’un local à un niveua national alors que d’aucun ne me prouverons que ni l’un, ni l’autre une fois élus, ne pourront freiner ce qu’aucun gouvernement ne contrôle. Plus personne n’acceote la pénibilité du travail, donc les machines le font mieux et sans arrêt, donc où trouver du boulot dans une industrie ici ou ailleurs qui se robotise pour les gains ? Plus de machines, moins de boulot. Et ce genres de boucles qui font que l’addiction au gsm est inéluctable. On veut tous du confort et on en oublie tout ce qui en découle. Le capitalisme ne crée des richesses que pour ceux qui les créent, mais visiblement la partie immergée de l’iceberg est encore une fois ce qui se passe en dessous du niveau. S’il s’agit de changer simplement d’homme politique à la tête, espérer vous encore une utopie d’un changement de société ? Bon allez y alors et dans cinq ans on se retrouve pour raconter les mêmes salades. Toutes vos énergies concentrées d’une attention vers ceux qui de fait vous obligent à leur prêter attention, c’est la démocratie. Tous prônent l’espérance autant que les religions le font, mais l’argent n’est pas un dieu dont on profitera une fois morts. L’argent ne se trouve pas au paradis, mais bien dans le vivant. Le problème du capitalisme, de toutes les couleurs actuellement promet monts et merveilles et à en voir les effets, je trouve que cela ressemble à de la publicité de mauvais goût.
Bonne continuation
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