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Commentaire de morice

sur Sauver le capitalisme : s'en remettre à ses seins, plutôt qu'à Dieu (XXIII)


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morice morice 17 mars 2012 10:52

C’est d’ailleurs pour ça aussi que c’est le pilote en charge de la météo qui a ressenti une immense responsabilité après le larguage de la bombe A sur Hiroshima alors que le porteur de la bombe, celui qui l’a larguée, n’en a pas été traumatisé plus que cela. Le météorologue est celui qui « décidé » que c’était OK pour larguer la bombe. Tout a dépendu de son choix. Le largueur de la bombe attendait sa décision et n’a fait qu’y obéir. Il pouvait se ranger dans la douce catégorie du rouage de machine de guerre. Que voilà une forme de déshumanisation fort utile !


lire ici ce que j’en ai dit :

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-citrouilles-de-l-apocalypse-31077

bientôt, je vous promets d’autres révélations sur le sujet.. en juin prochain je pense. Le temps de lire, absorber et transcrire de nouveaux documents !

voilà qui se tient en effet : « Ce qui nous amène immédiatement à faire retour au 9/11 et toute la série des »false flag« dont j’espère et je dirais même j’attends avec impatience que vous nous en fassiez une série d’articles fourmillants de détails comme c’est apparemment votre spécialité. » J’en ai déjà parlé ici, notamment à propos d’une pilote blonde...

c’est ici

avec l’histoire du Sidewinder manquant....

Pour finir, je ne saurais trop vous recommander, si vous ne l’avez déjà fait, de lire Girard (surtout ses 4 premiers livres) plutôt que Virilio qui me semble contribuer à la pensée comme les m’a-tu-vu de l’art moderne contribue à l’art.

je vais suivre votre précieux conseil, car il y a bien un aspect pontifiant chez Virilio qui est en effet un peu exaspérant !




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