Concernant la pauvreté, l’angélisme ne donne que de mauvais résultats et
renforce les injustices et les inégalités avant tout au détriment des
défavorisés. Car, cela ne parait pas évident de prime abord, mais le
pire ennemi du pauvre au quotidien, c’est avant tout l’autre pauvre, et
cela sous toutes les latitudes
Conclusion : l’urgence, l’essentiel est donc de s’attaquer à la pauvreté.
Comme ça, Monsieur Yang pourra nous pondre un article sur la bêtise et la méchanceté des riches.
La différence fondamentale étant que, chez les pauvres, la « méchanceté » n’est la plupart du temps qu’un des apprentissages de la nécessaire SURVIE, quand, chez les riches, elle s’avère, si l’on peut dire..... gratuite !
Facile de jeter l’anathème sur ceux qui ont à assurer les dures conditions de leur survie, quand on le fait du haut de sa position sociale favorisée.
Il y a, certainement, des pauvres bêtes et méchants ; l’important étant d’en déterminer et d’en éradiquer les CAUSES : manque d’éducation, de culture, de moyens suffisants pour vivre, isolement, marginalité, rejet, manque total de possibilité de projet, avenir bouché, présent naufragé, etc...
Les individus sont ce qu’en font (et que permet) le système social ; le consumérisme forcené du_ capitalisme mercantile ayant totalement rompu le lien social, il ne faut pas venir s’étonner que des individus en arrivent à se comporter comme dans une jungle, puisque jungle il y a.