Je crois que vous m’avez mal compris benevole.
Je crois qu’il ne faut pas « s’interdire » la fessée, ce qui est différent. Etant moi-même père (d’un jeune enfant), je sais aussi de quoi je parle ! Il est vrai aussi que je ne mets de fessée que très rarement, je ne me souviens plus de la dernière.
Evidement, il vaut mieux expliquer avant d’être répressif et être patient aussi, et à l’écoute. Mais ceci à mon avis ne doit pas empécher cela. Mon exemple n’était peut-être pas approprié, je voulais simplement mettre en valeur que la punition est une façon d’obliger l’enfant ou l’adolescent a assumer son acte, et à le comprendre. Nous parlons donc de « fautes ». Mais aussi à poser des limites précises, et à montrer que nos rêgles sont fermes. Il est évident qu’on ne punit pas un enfant, ou un adolescent « sage ».
Vous ne savez peut-être pas ce qu’est la délinquance dans certains quartiers et le mépris pour les autres et leurs souffrances qu’on peut y trouver Là ce n’est plus une fessée qu’il faut, peut-être à défaut de n’en avoir pas mis plus tôt...
Mais ce n’est que mon avis...
Bill