Il ne vous a pas échappé que l’héritière de la pme le pen s’est terrée pendant près de 48 heures et était tétanisée à l’idée que l’un de ses ouailles puisse être l’auteur de la tuerie. A la minute que l’identité du tueur présumé ait été dévoilée par la presse, elle a refait surface avec ses sabots xénophobes et islamophobes. Pathétique !
Cette opportuniste dont le père a été condamné récemment par la cour d’appel de Paris aujourd’hui à trois mois de prison avec
sursis et 10 000 euros d’amende pour « contestation des crimes de l’humanité » a la mémoire courte. Lors de l’affaire de Carpentras, on a tout de suite accusé leur boutique familiale d’avoir commandité cette profanation. Aujourd’hui, elle réagit exactement comme le
ministre de l’intérieur de l’époque, un certain pierre joxe, qui s’était empressé
de pointer du doigt, sans aucune preuve et sans attendre les résultats de
l’investigation des membres de son ministère, la pme familiale le pen :
"Il n’y a pas besoin d’enquête policière pour savoir qui sont les
criminels, coupables de cette abomination raciste"
avait-il déclaré. Dans la manifestation monstre qui s’est
déroulée à Paris au lendemain de la profanation du cimetière, en présence
de Mitterrand, les milices juives brandissaient en plus du
traditionnel drapeau israélien des poupées à l’effigie du papounet de
l’héritière vêtues de tee-shirts portant l’inscription "Carpentras, c’est
moi".