Quand Marine Le Pen traite Bayrou de « salaud »
A la seconde-même où le présumé tueur a été défini comme djihadiste - ce dont il va falloir parler - Marine Le Pen a joué à fond à la récupération violente des trois tragédies de Toulouse et Montauban en traitant de Salauds entre autres Mélenchon et Bayrou.
Il n'a pas fallu très longtemps à Marine Le Pen pour faire une violente tentative de récupération de cette tragédie d"une grande tristesse. Bien sûr que dans le monde, en France aussi, chaque jour des enfants, des hommes, des femmes, meurent sous la violence. Mais la vérité médiatique n'est qu'un mensonge et on ne contrôle pas l'émotion. Certaines morts déclenchent des effets plus lourds que d'autres même si c'est injuste. Ce qui rend cette tragédie plus aiguë c'est la gradation dans l'horreur avec d'abord un mort, puis trois, puis quatre et des enfants si jeunes, si jeunes, que cela serre encore plus le cœur. Il y a aussi les raisons parmi lesquelles la haine en est au centre.
Le Figaro : Le Front national s'en est pris ce matin "aux salauds" qui ont, selon lui, "instrumentalisé la tragédie de Toulouse" contre le FN et Marine Le Pen, sa candidate à l'élection présidentielle.
"A l'attention de Mme Buffet, de MM. Mélenchon, Bayrou, Sopo et autres : vous avez cru pouvoir misérablement instrumentaliser la tragédie de Toulouse contre le Front national" et Marine Le Pen, écrit le FN en tête d'un communiqué intitulé "Aux salauds".
"Votre entreprise visant à tenter de traîner dans la boue 20% de Français à raté. Vous avez essayé d'ajouter à l'horreur du drame votre mauvaise vindicte politique", poursuit le FN, qui demande aux personnes citées de "présenter des excuses" au FN et à ses électeurs et de se "taire pendant un long moment".
Pour ce que j'en ai lu, Mélenchon n'a, me semble-t-il que fait allusion à l'horreur de l'acte et surtout à insisté à juste titre que cela était donner trop d'honneur à ce salopard que d'arrêter la campagne. Et pour cette réflexion la suite lui donnera raison pour ce que l'on sait des paroles du présumé assassin.
Pour ce qui est de Bayrou, heureusement, il y a une vidéo, que j'avais mise dans un autre article, et un texte qui retranscrit son meeting. Bayrou a effectivement parlé de climat. Non seulement il n'a pas cité Le Pen, mais en plus son discours était tout autre que ce que nous dit Le Pen.
Sans doute est-ce une déformation de son métier de jeunesse qui l'a fait réagir ainsi, mais tous nous avons assisté à des cours qui partaient d'un cas extrême particulier pour parler de la généralité. Et c'est toujours à l'occasion d'un drame que l'on parle de ce qui est en cause en général. A l'occasion d'un grave accident de la route dû à l'alcool on va en parler pour généraliser aux méfaits de l'alcool.
Dans son discours, mis ici en pdf pour que chacun puisse vérifier,
Bayrou parle de ce drame car dans une campagne électorale, évidemment on ne peut évacuer le fait et le masquer par une fausse suspension de campagne. Il faut en parler pour les victimes, pour la population qui est sidérée et qui a besoin que les hommes publics leur en parlent car c'est là leur rôle, aussi. Bayrou a parlé de la tristesse, des victimes, de l'antisémitisme. Il a parlé de l'émotion. Voilà d'abord sur ce qu'il dit de cet assassin : Et là, c'est chez nous, c'est sur notre sol. Et naturellement, en tout cas je l'espère de tout mon cœur, c'est le résultat d'une folie furieuse comme il en existe, comme il s'en rencontre partout assez souvent dans les pays.
Sa première réaction est donc d'associer cet acte à la folie meurtrière. On est très très loin des déclaration de Le Pen sur son compte. Ensuite, si cela n'est pas assez clair voici cet autre phrase : Il y a, depuis trop longtemps, un climat qui se dégrade en France et la vie politique n'est pas étrangère à ce climat. Ce ne sont pas des liens de cause à effet, bien entendu, mais il faut faire très attention.
Bayrou profite de cette occasion pour dire qu'un terreau de haine est fertile pour ce genre d'acte, mais, en fait, il dénonce la violence latente et même explicite de notre société avec comme exemple le plus affreux cet acte. Bayrou parle de la violence en fait et, évidemment, dans ce cas de violence, dans le cas de la violence générale ceux qui attisent les dissensions, qui font grimper les haines ont une part de responsabilité. Le cas tragique et particulier de ces massacres est un éclairage du cas de violence latente de la société française. Bayrou parle à juste titre de la société française malade de ces oppositions poussées par ceux qui comme le diable pousse le feu sous la marmite de l'enfer. Tous ceux qui attisent les haines ont une part de responsabilité quand elle s'exprime. Ils libèrent le droit à la violence, l'excusent la légitiment.
Enfin Bayrou a surtout, dans ce discours, opposé à cette violence la nécessaire unité, la nécessaire solidarité. Lui, Bayrou, cela fait des années et des années que c'est son cheval de bataille. Son slogan n'est-il pas double : Un pays uni rien ne lui résiste, et solidarité ? Qui peut dire que ces slogans sont postérieurs à cette tuerie ? Le terme de solidarité a été choisi pour être une espèce de synthèse de Liberté, Egalité, Fraternité. Dans son livre de la France solidaire, justement il parle de cette nécessaire solidarité. En revanche on voit que l'union de façade du président de la République n'aura pas tenu plus longtemps que la récupération du drame par la Marine Nationale. Les corps des victimes n'étaient pas encore sous terre que l'UMP a violemment attaqué Hollande qui par l'intermédiaire du PS a aussitôt tout aussi violemment attaqué l'UMP. Où était donc leur suspension de campagne ? Où était leur trêve ? Ou était et ou est leur union ? Tout cela n'est que du vent.
On ne peut évacuer dans ce débat le supposé assassin qui a été présenté comme un djihadiste revenant de l'Afghanistan et du Pakistan. Ce matin il est toujours retranché dans son appartement. D'après ce qu'en on dit la presse il est certain qu'il est allé dans ces deux pays. On sait aussi que ce serait un petit voyou, peut-être un dealer. On peut donc supposer qu'il fut, peut-être, un membre combattant d'Al Qaida. Cependant nous devons soulever quelques questions.
Avant d'aller plus loin, d'avoir retrouvé cet homme et ces deux frères est une réussite. Malheureusement, et j'en suis convaincu, nombre d'enquêteurs doivent être désespérés de ne pas l'avoir attrapé à temps avant le dernier massacre car ils avaient l'adresse ip du portable de son frère et la DCRI l'avait sous surveillance. Ces policiers doivent être totalement démoralisés. Ici se pose une double question : soit la DCRI a fait une mauvaise analyse de qui était cet homme, soit il n'est pas un véritable combattant d'Al Qaida.
En effet, y compris avec l'hypothèse qu'il fut un temps combattant d'Al Qaïda, il y a nombre d'incohérences avec ce qui est jusqu'à ce jour apparu comme des attentats de cet organisme terroriste. Tout diverge :
- il n'a pas de planque autre que chez lui
- il ne revendique les attentats au nom d'Al Qaïda, non tout de suite, mais quand il est encerclé
- en amateur absolu il utilise le portable de son frère pour répondre à une annonce
- en amateur il va voir son concessionnaire pour demander, en plus, suprême bêtise, comment désactiver le traker de son scooter (s'il faisait parti d'un groupe terroriste non seulement il ne serait pas bêtement allé voir son concessionnaire mais en plus il n'aurait pas utiliséson propre scooter et en aurait volé un, ce qui est la moindre des protections)
- il ne veut pas mourir, ne veut en rien être un martyr d'Allah
- ce n'est pas un attentat à la bombe, or à ce jour - mais évidement je ne connais pas tout - je n'ai pas entendu parler de ce genre d'attenta avec une arme à feu, en trois fois en plus
Il n'a donc ni faux nom, ni voiture volée ou scooter volé, ne pose pas de bombe, ne se fait pas sauter avec la bombe, n'a pas de planque, n'est pas exfiltré par Al Quaida, un de ses frères est attrapé et le second se rend.
Voici ce qui serait une hypothèse : cet homme est habité d'une haine violente contre les militaires occidentaux et contre Israël. Il s'est entraîné en Afghanistan et au Pakistan, en tant que petit voyou il a accès à des armes et il veut faire un coup d'éclat. Il a du reste déclaré qu'il avait réussi à mettre la France à genou ou quelque chose comme cela. Sa revendication d'Al Qaïda est une sorte de certificat à son geste. Il peut se donner un rôle important : on lui a confié une mission d'ordre générale. Tout cela sent la mystification à plein nez. Cet homme serait plus un fou de haine qui se sert d'Al Qaïda comme drapeau. La période électorale était donc le moment le plus propice pour faire un éclat et devenir un héros.
De cette hypothèse il en résulte deux autres : l'indépendance absolue de cette haine avec l'ambiance générale en France ou il y a un terreau en France qui a permis à cette haine de s'exprimer. Dans cette seconde hypothèse - et pour bien mettre les points sur les i, ce n'est qu'une hypothèse qui diffère de la première, première tout aussi valable, qu'il n'y ait aucun lien - le terreau vient de la conjonction des deux courants. Le premier est le courant effroyable sur Internet de la haine viscérale contre ce qui est appelé les sionistes, cette haine qui demande sans cesse avec une violence inouïe leur éradication. On l'a bien vu ici sur Agoravox, un appel à peine masqué au meurtre avec en miroir le peuple palestinien martyr sous les coups assassins d'Israël (ce sera une des revendications de cet homme supposé être l'assassin). Ceci est un des courants. L'autre courant qui se combinant au premier, comme le comburant au carburant, est celui de la stigmatisation permanente des immigrés et plus récemment dans cette campagne des musulmans par au moins deux personnes que je cite ici nommément : Marine Le Pen et Claude Guéant. La pemière a lancé le thème du halal, le second s'est précipité dessus pour en rajouter. Ces deux-là ont joué avec le feu. Ils ont montré d'un doigt vengeur la communauté musulmane qui allait dominer la France par l'imposition du halal. Cet homme se trouverait, selon cette hypothèse, pris entre les deux mâchoires celle de la haine contre Israël et celle de la stigmatisation des musulmans dont il est. Dans cette seconde hypothèse, si ces deux courants ne sont sans doute pas à l'origine des actes, on peut supposer qu'ils sont un engrais qui a aidé à ce qu'il arrive.
De tout cela, nous voyons que ceux qui récupèrent ce drame ne sont ni Mélenchon, ni Bayrou mais bien Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy. Nous nous trouvons à la croisée des chemins. Les Français vont avoir à choisir donc entre deux voies :
- celle du sécuritarisme dans la division et l'exclusion proposée par Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen, chacun avec son propre chemin
- celle de la solidarité entre tous, de l'union car dans le malheur une réponse est de se serrer les coudes, malheur social, malheur économique, malheur sociétal, et c'est la voie de Bayrou.
Ce qui me fait peur, c'est que les Français pourraient choisir comme en 2007 la première voie, à moins qu'ils soient plus sages et aient compris ce qu'il y avait de néfaste dans le discours de celui qui n'a cessé de mentir, qui n'a ni apporté la sécurité, ni la prospérité, mais l'insécurité à tous les étages et la division, la ségrégation au sein de notre société.
Il nous reste cinq semaines pour nous débarrasser de ce pouvoir. Souvenons-nous à chaque instant de cette campagne qu'Eric Woerth a été mis deux fois en examen dont une pour recel de financement illégal de parti ce qui est une forte suspicion de l'illégalité de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 et donc l'illégalité de son élection. Trouvez aussi ici la vraie timeline de Sarkozy (journal Facebook) Faisons notre Révolution en 2012, et avant si possible. Et votez en conscience après avoir lu ce livre des méfaits du clan Sarkozy Le Sarkozyland et ses méfaits(epub) ou Le Sarkozyland et ses méfaits(issuu)
- La première année de Sarkozy
- La biographie de Sarkozy apocryphe
- La Biographie de Lefebvre
- L’affaire Tapie
- Les petites affaires de l’Immaculé Eric
N’oublions jamais :
- l’affaire Karachi
- l'affaire Takieddine (patrimoine de 40 m€ non imposé, Karachigate, SAWARI II, MIKSA (350 millions d'euros), contrats avec la Libye notamment d'espionnage de la population avec l'appui d'une entreprise française et commissions occultes, tractations obscures avec la Syrie, la protection qu'il a ou a, eu selon Mediapart, de la DGSE
- l’affaire GDF
- l’affaire Tapie, enrichie d'évasion fiscale du magot vers la Belgique
- l’affaire Clearstream
- l’affaire Bettencourt
- les affaires Wildenstein
- l'affaire César
- l'affaire Pleyel
- l'affaire Facebook
- l’affaire de Compiègne
- l’affaire Peugeot
- l'affaire Abdallah Senoussi, bras droit de Kadhafi, patron des services spéciaux libyens et beau-frère de Kadhafi, condamné à une peine de perpétuité en France dans l'affaire de l'attentat contre le DC10 d'UTA et visé depuis lors par un mandat d'arrêt international., que Guéant et Sarkozy ont tenté de protéger
- les affaires Djourhi, Takieddine
- les possibles mallettes de Bongo pour financer la campagne de 2007
- les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc.
- l'affaire du Fetia Api
- l'affaire Dexia près de 12 milliards d'euros de pertes
- les discours de Caen, Metz, Nice, du bois de Boulogne, Dakar, Riyad, Latran et du Puy en Velay, la lettre de Guy Môquet, le parrainage d'un enfant de la Shoa, sur la mort de Ben Laden
- l'invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, celle d'El Assad en décembre 2010, le copinage avec Dos Santos, les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobel de la paix, la présence l'ouverture des JO de Pékin et le fils Louis dans les bras de Poutine
- les fils Pierre et Jean invités dans les voyages officiels à l'étranger (Mexique, Maroc) alors qu'ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation, la protection du fils Pierrot, son rapatriement d'Odessa
- la gestion catastrophique de la crise Géorgienne (le Russes y sont encore et ont implanté des bases de missiles), celle de la crise financière, celle de l'Europe, celle des révolutions tunisienne et égyptienne, le fiasco libyen, l'inaction en Syrie
- l’affaire de la Jatte, du Fouquet's payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte, celle des stylos, celle de la déclaration de patrimoine …
- l’affaire Pérol
- l'affaire Yannick Blanc
- l’affaire de l’Epad (et des deux scooters)
- Gandrange
- les vaccins du virus H1N1
- les accords entre l'UMP et le Parti Communiste Chinois, l'UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l'envoi par l'UMP des bulletins d'adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
- les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby, Fontaine, Squarcini, Courroye, Ceccaldi Raynaud, fils Tibéri …
- l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
- l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy, la proposition de Sarkozy à Lauvergeon d'une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu'il sortait l'argent de sa poche
- les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Bourgi, Richard, Peugeot etc.)
- l'Air Sarko One (250 millions d'euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l'étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros, les 4 X 4 Nissan de Megève
- la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
- l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l'intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l'augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
- la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d'Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l'échec scolaire des enfants d'immigrés, l'autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
- la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
- la réforme constitutionnelle
- les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l'exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir
- l'irresponsabilité pénale du Président de la république
- la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
- l’affaire des sondages
- les classements du parquet
- le site France.fr (des millions d'euros pour rien)
- les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets
- la paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président, les 12 000 € de frais de bouche par jour, chaque jour, la baisse des œuvres sociales de l'Elysée passées de 300 000 € en 2006 à 165 000 en 2010
- l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
- l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
- la scientologie
- l'affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l'avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts.
- l'affaire Bongo
- la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l'utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
- les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20
- la possible affaire Clara Bruni
- l'affaire Facebook
Vignette
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