@PapaDop
Cher Monsieur, je ne saurai que trop vous renvoyer à lapage de Wikipedia et aux sources qui ont permis de la rédiger, je réitère mes propos
chants nazis : société d’édition la Serp ( rien que le nom la société c’est tout un programme !!!)
14 janvier 1971 : rejet par la Cour de cassation de son pourvoi contre l’arrêt le condamnant, pour apologie de crime de guerre, à deux mois de prison avec sursis et 10 000 francs d’amende. La pochette d’un disque édité par la Serp affirmait : « La montée vers le pouvoir d’Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu’il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée »
27 mars 1986 : reconnu coupable d’apologie de crimes de guerre, dont la déportation, pour l’édition d’un disque sur lequel on peut entendre « un hymne du parti nazi » et « Vive Hitler ».
Déni de la Shoah
18 mars 1991 : condamné par la cour d’appel de Versailles pour « banalisation de crimes contre l’humanité » et « consentement à l’horrible[réf. nécessaire] » pour avoir déclaré : « Je me pose un certain nombre de questions. Et je ne dis pas que les chambres à gaz n’ont pas existé. Je n’ai pas pu moi-même en voir. Je n’ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale. [...] Si, c’est un point de détail au niveau de la guerre ! Voulez-vous me dire que c’est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire ? Que c’est une obligation morale ? Je dis qu’il y a des historiens qui débattent de ces questions. ».
3 juin 1993 : condamné à 10 000 francs d’amende par la Cour d’appel de Paris pour « injure publique » au ministre de la Fonction publique de l’époque, Michel Durafour, appelé « monsieur Durafour-crématoire » (Le Monde, 5 juin 1993). Le 7 décembre de la même année, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.
26 décembre 1997 : condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à verser entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages-intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de grande instance de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l’humanité, consentement à l’horrible », pour avoir dit lors d’une conférence de presse en compagnie de Franz Schönhuber, le 5 décembre 1997 à Munich, que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s’appelle un détail ». Le 10 septembre 1999, la cour d’appel de Versailles confirme la peine.
Torture journal Combat 9 novembre 1962
molestage d’une élue PS http://www.dailymotion.com/video/xfe4ia_proces-le-pen_news
etc.
2 avril 1998 : condamné à deux ans d’inéligibilité (réduits à un an par la cour d’appel, qui ajoute 8 000 F d’amende) et trois mois de prison avec sursis par le Tribunal correctionnel de Versailles pour « violences en réunion » et « injures publiques » (faits requalifiés par la Cour d’appel en « violences sur personne dépositaire de l’autorité publique dans l’exercice de ses fonctions ») pour avoir agressé la maire et candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal (qui portait son écharpe d’élue) lors des législatives de 1997. Le 23 novembre 1999, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi. Par une décision du 10 mai 2001, la Cour européenne des droits de l’homme a déclaré irrecevable sa requête fondée sur la violation de l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme.
ETC.
ETC.
ETC.
Vous avez le droit de tout nier en bloc, mais je connais assez le personnage pour pouvoir étayer TRÈS FACILEMENT mes propos.
Je vous laisse, j’ai d’autre choses à faire que répondre à vos propos révisionnistes.