0- Malgré les détecteurs (chaleur, mouvement...), « ils » l’ont cru mort, ne savaient pas où il se trouvait...
1.- Pourquoi les tireurs d’élite n’ont pas tiré dans les jambes ?
2.- Les gaz lacrymogènes ne sont pas faits que pour les manifestants pacifiques...
3.- Les taisers non plus...
4- Pourquoi et comment les échanges de coups de feu ont-ils pu durer près de 5 minutes (de Guéant au procureur, en passant par le chef de l’unité du RAID et les journalistes, tout le monde confirme, malgré leurs propos incohérents, contradictoires et parfois inintelligibles) dans un petit appartement ?!
Aucun dégât corporel important malgré 270 balles environ (dixit Guéant et les autres) tirés par les forces de l’ordre, dans la pièce (contre 30, dixit Guéant et les autres) ! Mais ils tiraient sur quoi ? Où ont-ils appris à viser (à quelques mètres de distance) ?!
5.- L’assassin salafiste (qui avait fréquenté une boite de nuit quelques jours plus tôt !!!) aurait donc ouvert la salle de bain et, pendant 5 mn, tirer avec un pistolet « non automatique » (mais à 100 coups !) sans tuer ni être blessé, puis traverser la pièce principale au milieu des flics et finit par s’élancer à travers la fenêtre du rez-de-chaussée pour se prendre une balle dans la tête...
ON EST CHEZ LES FOUS ! Ou plutôt, on nous prend pour des débiles !!!
6.- Plus encore, pourquoi, s’ils voulaient vraiment l’avoir vivant, n’ont-ils pas attendu 24 ou 48 h de plus ? Ils l’auraient cueilli comme une larve endormi, épuisé...
Il n’y avait pas d’otages. Alors !

Rien que pour se limiter aux dernières heures de l’affaire, tout démontre une manipulation grave : il ne fallait pas que l’assassin parle.
Parce qu’il avait été l’objet d’une manipulation des services secrets dans le but de procéder à un acte terroriste, comme le pratique crapuleusement et officiellement le FBI et autres officines américaines ?

LA RÉPUBLIQUE EST EN DANGER .