L’auteur forme le vœux suivant : « Il est donc nécessaire, par soucis de cohérence, que le premier article de la constitution change et face apparaître qu’il n’existe pas différentes races ». Cela reviendrait à interdire par la loi fondamentale l’évocation de certaines vérités scientifiques.
C’est un fait que certains scientifiques, au services de l’idéologie mondialiste (ou globaliste), nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là.
Pendant ce temps des scientifiques intègres, mais qui sont ignorés par les médias, considèrent que les différences entre les branches de l’humanité sont clairement marquées de sorte qu’on peut parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial.
La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » a réussi à imposer depuis quelques dizaines d’années s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ».
Alors que dit la science concernant les races humaines ? En effet : « La vérité c’est que chaque espèce est composée de plusieurs races et que l’espèce humaine n’échappe pas à cette règle naturelle. ». Pour en savoir plus vous pouvez lire l’article dont le lien est donné en fin du présent commentaire.
Une discipline scientifique ancienne est capable de déterminer l’appartenance majoritaire d’un individu à une race : c’est l’anthropologie. Par l’examen d’une série de caractéristiques physiques, l’anthropologie permet de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. Ainsi les experts en criminologie sont capables, par l’examen du squelette, de déterminer avec une forte probabilité quelle est la race dominante de l’individu.
Plus récemment c’est la génétique qui a apporté toute la fiabilité dans la détermination de la composition raciale d’un individu. Da façon analogue à l’anthropologie, l’analyse génétique autosomale permet également de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. La où l’anthropologie examine les caractéristiques biologiques macroscopiques, l’analyse génétique autosomale examine les caractéristiques biologiques microscopiques tout en apportant plus de précision.
Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.
La science génétique progresse et cerne de mieux en mieux la question des groupes raciaux humains. C’est un fait qui est délibérément évacué en France où les médias acceptent, sans tenter de le contredire, le dogme propagé par les « bien-pensants » que « les races humaines n’existent pas ».
L’analyse génétique autosomale est donc capable de déterminer l’ascendance principale d’une personne. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.
Par ailleurs les techniques qui découlent de ces recherches sont utilisées aussi par des sociétés commerciales qui par la mise en application des analyses autosomales proposent d’établir quelle est la composition raciale d’un individu et, selon les moyens techniques dont elles disposent et selon les dépenses financières que l’on est prêt à consentir, elles peuvent aller plus ou moins loin dans le détail de l’analyse. Ces sociétés présentent le rapport d’analyse en donnant pour l’ADN analysé au moins la part des trois principaux regroupements raciaux (Européen, Africain sub-saharien, Est-Asiatique) mais il est possible aussi d’obtenir la répartition plus fine par des sous-groupes raciaux.
Pour finir constatons que la revendication en France de l’identification raciale des individus a été ces dernières années fortement appuyée par les Noirs dans les associations officiellement réunies autour de CRAN. Des associations nombreuses ont été créées en France pour défendre les intérêts des Noirs. Les Noirs français sont donc capables de s’identifier en tant que Noirs alors que d’après ce que prétendent certains Français la science ne serait pas capable de confirmer l’existence de la race noire : les Noirs français ont-ils des capacités d’observations supérieures à cette science-là ?
Les médias français ont éliminé le franc-parler pour utiliser un charabia « politiquement correct ». Par exemple le titre « Un violeur en série d’origine africaine recherché à Paris ». Que signifie « d’origine africaine » ? Serait-ce « Noir » ? Le terme « d’origine africaine » est source de confusion, car par exemple Ségolène Royal est née au Sénégal est-elle « d’origine africaine » ? En vérité on cherche un individu d’un certain type racial mais en France c’est suspect de le dire ouvertement.
En France on est allé tellement loin dans le dénigrement de la réalité que l’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.
La différentiation des humains en groupes raciaux est une évidence confirmée par la science moderne.
En France il est devenu impossible de propager la vérité sur les races humaines. Par contre, depuis une trentaine d’année, la propagation du mensonge « les races humaines n’existent pas » est facilitée. Et pour rendre la question confuse on a remplacé la notion de « race » par la notion de « ethnie ». Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.
La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques – nous l’avons rappelé plus haut.
L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies. Il ne faudrait pas utiliser la notion de « ethnie » pour remplacer la notion de « race » - pourtant c’est ce qui est fait.
En France la censure empêche de propager la vérité sur les races humaine et je précise que la censure à propos des races humaines est également en place sur AgoraVox.
Par exemple, si vous avez publié quelques articles sur AgoraVox alors vous avez le statut de « rédacteur » d’AgoraVox et alors vous avez accès aux articles qui sont en attente de validation.
Dans ce cas vous pouvez constater dans la rubrique « Actualités / Société » que l’article qui depuis le 6 mars 2012 est bloqué à la validation par la rédaction d’AgoraVox a pour titre « L’avenir des races humaines ». Cet article est depuis plus d’un an régulièrement refusé par AgoraVox avec la mention : « Nous avons en effet reçu de très nombreuses propositions d’articles ces derniers temps, que nous n’avons pas pu toutes traiter dans un délai satisfaisant. Veuillez nous en excuser. Toutefois, si votre article est encore d’actualité ou peut être actualisé, n’hésitez pas à le proposer de nouveau. Il sera traité au plus vite. ». L’article est peut-être refusé parce qu’il expose des vérités qui dérangent certains.
En France la censure empêche donc de propager la vérité sur les races humaines, de sorte qu’il est difficile de trouver les informations en langue française sur internet. L’article suivant fait une synthèse sur la question des races humaines et donne de nombreux liens pour aller plus loin sur le chemin de la vérité : « Les races humaines ou les types humains ».
28/03 14:02 - Paul Barthe
La grammaire aussi est universelle, en cela qu’elle s’applique selon des codes très (...)
28/03 13:48 - JL1
@ JPB, commençons par la fin ; je note que c’est vous qui remplacez les mots dans les (...)
28/03 10:25 - robin
Je propose de supprimer le mot « sucre » du dictionnaire pour faire baisser le diabète....lol (...)
28/03 10:21 - le moine du côté obscur
L’égalité ? Une aberration puisque nous ne sommes pas égaux c’est l’évidence (...)
28/03 09:33 - Paul Barthe
J’ai dit que j’estimais que cette question ne mériterait pas un débat tant la (...)
28/03 09:05 - JL1
Paul Barthe, vous admettez que c’est un faux débat et dans le même temps vous écrivez : (...)
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