Nous, les citoyens devons cesser de nous laisser diviser par des sigles différents qui traduisent une seule réalité : que la politique est un repaire de requins affairistes.
Ceux qui s’y égarent ont tôt fait de s’y faire dévorer ou embrigader et une fois qu’ils ont plongé et goûté aux délices de la vie facile permise par l’argent des corrupteurs qui coule à flots.
Il faut cesser de penser que ces gens ont un quelconque intérêt à s’occuper des affaires d’autres !
Combien de temps faut-il encore pour comprendre cette évidence.Chirac était un fin renard qui cachait tout, Sarkozy est un agité incapable de se maitriser et son grand « mérite » a été de faire apparaître toute cette corruption au grand jour.
Au moins pour cela on pourra le remercier...
Comment peut-on penser une seconde que d’illustres inconnus (même si leur visage apparait tous les jours sur les écrans et les journaux) , officiant dans des bureaux cossus ou dans les salons feutrés des palais internationaux s’intéressent à la vie de Monsieur Dupont ou de Madame Durant, sinon dans le but de s’octroyer des avantages qui sont autant d’entorses à la justice et à l’équité ?
La politique est l’ affaire de chacun dans la mesure où elle a une incidence sur notre vie quotidienne.
Le meilleur des modèles est le modèle local.Il permet un contrôle direct des administrés et le maire devra être un porte-parole des administrés.
Chaque décision importante engageant la vie de la commune devant être débattue lors de conseils (fonctionnant comme les conseils communaux).
Dans ce cas, les abus sont décelables tout de suite.
Toutes les autres schémas de fonctionnement (conseils généraux, régionaux..) devraient être abolis car le contrôle devient plus aléatoire et le financement de plus en plus obscur au fur et à mesure que les organisations s’éloignent du mode de fonctionnement local.
C’est bien entendu fait exprès.
Quant aux partis, ils devraient être interdits car ils ne sont que des réservoirs servant à pomper des subsides de l’état dans le but de diviser et de générer des conflits d’intérêt.
Il y a une éthique commune et il n’y a pas besoin d’être de droite, de gauche, du milieu ou d’ailleurs.