Cette affaire Merah devient, in fine, une bonne nouvelle pour
l’alter-mondialisme, si on fait abstraction bien-sur du bilan humain. Si
le Parfum Psyops à la Gladio sent à plein nez, l’opération n’a pas la
qualité dont étaient emprunts les ainés qui savaient monter à la
perfection des false-flags de type Branbant ou Aldo Moro.
Nos apprentis Psyops sont aujourd’hui de piètres amateurs, loin de la
qualité de « La Rose des vents » qui opérait sous Mitterrand. L’opération
Merah a tellement été torchée à la va-vite qu’elle dénote une
préparation baclée, qui pue la précipitation improvisée. Les zones
d’ombre deviennent tellement criardes qu’elles pourraient rapidement se
retourner contre leurs auteurs, ou tout au moins les mettre dans
l’obligation d’utiliser l’intégralité des ressources d’influence dont
ils disposent, de l’appareil judiciaire aux médias, et encore, celui
risque de ne pas suffire.
Oui, une bonne nouvelle, car le NWO, sans l’aval duquel cette
opération n’aurait pas pu se faire, est en large perte de vitesse, voire
en panique. De la Syrie, véritables sables marécageux de l’OTAN, ou des
militaires français sont encore prisonniers (Ecouter Meyssan),
à l’affaire Merah, l’OTAN commence à pédaler gravement dans la semoule,
et montre ses limites. Ce n’est pas encore sa fin, loin s’en faut, mais
cette organisation et ses marionnettistes sont à bout de souffle, et
montrent en tous cas leur large vulnérabilité.
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