Le problème n’est pas la dette mais le type de dépense. Avec un état qui
est juste sensé amortir les crises aux individus (en contradiction
totale avec l’économie mix historiquement prouvé des 30 glorieuses),
évidement que la dette est stérile.
L’exemple des projets spatiaux est tonitruant. Le retour sur investissement est sans doute proche de 14/1 :
http://nasawatch.com/archives/2010/...
La
citation de Jean Zay rappelée par Cheminade est aussi un immanquable
sur le sujet pour baliser autrement que hors réalité historique le sujet :
« Quand on étudiera les causes de notre impréparation militaire et de
la décrépitude du gouvernement parlementaire, il faudra inscrire en
bonne place l’orthodoxie financière. De 1932 à 1940 - je parle de ce que
j’ai vu -, au milieu de tant de débats désordonnés, il y eut un sujet
« tabou » : le libéralisme monétaire et financier ; une discussion
interdite : celle du contrôle des changes.
http://www.cheminade2012.fr/Jacques...
Je précise que je ne prend pas la défense de toute les dépenses de Mélenchont (genre la géothermie pour bien refuser la densité d’énergie nécessaire à la croissance) mais il a raison de défendre un autre paradygme que l’amnésie collective sur le financiarisme.