L’inacceptable, c’est surtout quand les experts ou autorités couvrent !
Je suis de ceux qui, hélas, ont aujourd’hui, vraiment du mal
à avoir confiance en certains médecins.
Une généraliste a donné à mon fils, alors âgé de 5 ans de la
ventoline de façon régulière, durant 2 ans et en dehors de toutes crises
d’asthme, dont témoignages de l’école où il fait du sport. Je précise que mon
fils n’a jamais eu de d’essoufflements à l’effort, de sifflements, ni aucun
autre symptôme de quelque nature que ce soit ...
Un soir une cousine urgentiste me voit lui administrer son
turbuhaler et m’enjoints à arrêter sur le champ, car qu’en bien même il aurait
eu de l’asthme, ce ne serait qu’en cas de crises qu’il convenait de procéder à
cet acte médical.
Sur ses recommandations, je vais donc consulter un
pneumologue, spécialiste de l’adolescence, laquelle après avoir procédé à des
tests me confie qu’il n’a RIEN et qu’il va falloir progressivement stopper le
traitement, car accoutumance oblige sur de très petits poumons !
Toutefois, pris dans ses contradictions la généraliste ne
veut rien savoir et se déporte en transférant « la patate chaude » à ce
qui est très certainement un de ses confrères peu scrupuleux, qui prescrira en
lieu et place de la ventoline du symbicort, me disant que l’on arrêtera dès le
début de l’été.
Conclusion et sur insistance de la maman, qui ira consulter
sur « recommandations » de ce pneumologue d’autres médecins, dont ils s’en
trouveront quelques uns, qui recommanderont de poursuivre, mon fils absorbent
depuis 2 ans déjà ce médicament.
Mais, pire encore j’alerterais l’ARS, l’AFSAP, la Haute
autorité de la santé, puis enfin le Ministère de la santé, les suppliant de concrètement
faire intervenir un véritable expert digne de ce nom et impartial pour poser un
réel diagnostic quant à ces surtraitements .... le tout, sans que personne ne
bouge !
Celà est purement écoeurant, d’autant que je suis convaincu
que ceci n’a que pour seul objet de surtout pas remettre en cause les actes
prescrits par le premier généraliste, sans le moindre test EFR.
En conclusion et s’il arrivait quoi que ce soit à mon
fils, bien que non belliqueux, il est clair que je demanderai des comptes à
l’ensemble de ces « braves gens » et surtout à ceux qui ont couvert
cette ineptie en détournant les yeux, sans la moindre considération pour la
santé d’un enfant.
Cordialement