« Les patrons sont l’inverse des esclavagistes, par les salaires, les postes, les responsabilités qu’ils offrent, ils permettent a leurs salariés de vivre dignement et librement, s’acheter ce qu’ils veulent sans être sous dépendance ».
Sauf que ce que vous présentez là n’est nullement le fait des patrons, mais le fruit d’un travail collectif, car sans le travail de ses salariés (qui s’ajoutent au sien) votre patron ne pourrait « offrir » (merci Ô grand maître ! Monsieur est trop bon !) « les salaires, les postes, les responsabilités », sans le travail de ses salariés il ne pourrait vivre dignement et librement, s’acheter ce qu’il veut sans être sous dépendance.
Tout cela pour dire que vous avez une vision néo-féodale des rapports sociaux, comme l’ont la plupart de vos « camarades » conservateurs néo-libéraux.
« Quand au syndicalisme, en France nous n’en avons pas l’ombre d’un échantillon. Les syndicats sont des officines d’obligés de l’état qui ne défendent que des corporations et des privilèges ».
Sans les syndicats, pas de congés payés, pas de réductions du temps de travail, pas de sécurité sociale... En bref, sans les syndicats, pas ou peu de progrès sociaux acquis depuis le 19e siècle.
« Quand a Spartacus, ce pseudo est le mien et nous sommes en liberté ! »
Tout à fait ! Libre à vous de détourner l’histoire et d’insulter la mémoire de personnages n’ayant que peu de lien avec l’esprit qui est le vôtre (à l’instar du FN récupérant Jaurès, Blum et Marchais).