• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de rastapopulo

sur Giesbert, Joffrin, Barbier, les précieux ridicules


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

rastapopulo rastapopulo 16 avril 2012 02:23

Manque la remarque de Apathie (mais il l’a faites aujourdhui héhé) :

Sur le plateau de Media, le magazine (France 5, 15 avril 2012), il n’y avait pourtant personne pour le contrarier :

« Je pense que c’est une campagne qui nous laissera un profond malaise. Parce que c’est une campagne de bouc-émissaire. Les difficultés que vit la France c’est la faute des banquiers, des financiers, des Allemands, des riches, des patrons accessoirement des journalistes qui sont toujours des personnages très secondaires sur la scène politique. Et tous les acteurs de la campagne présidentielle ont désigné des responsables surtout dans le monde de la finance. Moi je suis frappé, les riches, les patrons, on devrait tous être au Smic pour être heureux. C’est une campagne artificielle fausse, presque calomniatrice. C’est une campagne dont nous sortirons, collectivement j’entends, abîmés. Si les responsables politiques ne veulent pas analyser les raisons qui nous ont amenés où nous en sommes, les trente années d’échec de politique industrielle, de politique de l’emploi, de politique budgétaire, si eux ne veulent pas l’analyser et disent c’est la faute...qu’est-ce qu’il dit François Hollande ? Qu’est-ce qui reste du Bourget ? : L’adversaire c’est la finance. Mais la finance n’est pour rien dans les déficits que nous connaissons, dans les problèmes elle n’y est pour rien. Simplement l’adversaire c’est la finance c’est un mot d’ordre fédérateur, qu’au fond Nicolas Sarkozy reprend à sa manière, que les journalistes ne pèsent de rien face à la force de ces discours là. Mais on se réveillera malades de cette campagne ! Malades ! […]

http://www.observatoire-des-sondages.org/La-morgue-des-editorialistes.html


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès