Depuis plusieurs jours, voir plusieurs mois et même années, j’entreprend une analyse de fond étayée par de nombreux articles, autres analyses, actualités (non dissimulées) et toutes sortes de débats constructifs.
En pesant le pour et le contre, en ayant de s’extraire de « l’animal spontané » que je suis potentiellement au même titre que mes concitoyens, en menant une lutte contre moi même afin d’être autant que possible objectif,
j’arrive aujourd’hui à une analyse hyper cohérente que se défient de toute contradiction (rien que cela) que la solution finale pour s’extraire de la main mise des marchés dans toute décision qui concerne le mieux être de l’Humain est :
DE LEUR PETER LA GUEULE, SANS FAIRE DE PRISONNIER.
Leur donner une chance d’échapper à leur sentence, c’est leur donner une chance « de se refaire ».
Que ce soit les décideurs financiers, ou ceux qui prennent parti pour eux, en défendant le caractère ’« factuel » de leurs décisions (entendre qu’ils n’ont rien contre nous mais c’est comme ça), ce sont de dangereux sociopathes qui ne pourront jamais remettre en cause le fait qu’ils soient au dessus de nous.
Il faut tellement leur foutre les jetons pour qu’ils puissent enfin connaitre le sens du mot « remord », étant entendu que ce mot s’appliquerait à eux par crainte de représailles ultérieurs.
Ils sont le dernier étage, le sous-sol, de l’humanité. Il ne suffira pas à ce qu’on oeuvre à l’égalité des droits, mais aussi à faire en sorte qu’ils en ait moins que les autres.
J’ai conscience de la hargne de mes propos, mais il faut comprendre que la moindre liberté d’action de ces odieux personnages entraînera indubitablement un malheur pour la majorité d’entre nous.
Et pour être honnête avec vous : ça fait du bien de se défouler, ça évite les complications cardiaques notemment.
