Hollande est comparé à un « Pudding
au Caramel (wobbly caramel ) » par le New YorkTimes du 13
Avril.
http://www.nytimes.com/2012/04/15/magazine/the-soft-middle-of-francois-hollande.html?_r=1
Le
journal U.S., The New York Times, plutôt classé à gauche de
l’échiquier politique américain, a publié un article sur François
Hollande. Comparé à un « pudding au caramel », le candidat
socialiste est décrit comme « un personnage politique de se...conde
zone » dénué de charisme. Si les journalistes français étaient
aussi lucides...
Le journaliste commence par dresser un
portrait au vitriol de François Hollande « malgré un régime de
pré-campagne », il « a l’air légèrement négligé » et ne fait
toujours pas le poids. Reprenant la phrase de Martine Aubry,
l’article explique qu’au sein même de son camp politique, Hollande
est considéré comme une « couille molle ».
Le très sérieux
New York Times revient ensuite sur le bilan politique ridicule de
Hollande. Présent à l’élection grâce au prétendu viol de DSK,
Hollande s’était même fait doubler par sa propre femme pour la
course à la candidature de 2007. Homme politique depuis des
décennies, Hollande « n’a jamais était responsable du moindre
portefeuille ministériel », ce qui en fait un amateur. Pour le
journaliste américain, il a uniquement ses chances grâce à la
sarkophobie française. Hollande « n’a pas le cran » pour être un
sérieux président.
Le New York Times poursuit en précisant
que le bilan politique d’Hollande est affligeant, qu’il a un charisme
d’andouillette, et ajoute qu’il n’y a pas un seul journaliste
français pour soulever les évidences qui sautent à l’esprit du
premier observateur objectif. Tout le monde sait que François
Hollande n’est pas au niveau. Il n’est pas capable de prendre une
décision, de dire, non, il n’a aucun charisme. Tout le monde sait
également qu’il n’a aucune expérience politique, qu’il est
incompétent sur les dossiers (pourquoi ni Mitterrand ni Jospin ne
lui ont confié de ministère ?).
Pourtant, nos journalistes font comme
si de rien n’était, n’interrogent pas le PS sur l’inexpérience de
son dirigeant et sur ses échecs à répétition. Pourquoi Sarkozy
est-il interrogé en permanence sur son bilan et François Hollande
jamais ? Pourquoi nos journalistes font-ils semblant de ne pas voir
ce qui saute aux yeux de tous les observateurs étrangers ?