bonjour spartacus
tu vas un peu vite dans la généralisation,il y en a et heureusement, heureusement que la plupart du temps nous trouvons des militants plus dans ceux qui pourraient s’en passer et vivre tranquillement de leur salaire et de leur emploi sans aller se faire chier pour conquérir des avantage pour des ouvrières qui dans leur grande majorité votent pour leur maitre.si les pauvres étaient capable de se révolté contre leur maitre il n’y aurait plus de tyran dans le monde.
certes en leur nom certains qui ont prétendu les représenter en sont devenu a leur tour, preuve s’il en été que dans ce monde la faculté de discernement de critiques et de sage transgression n’est que l’apanage de quelques uns, sinon Milgram n’aurait pas eu raison, la Boétie se serait trompé et pelloutier n’aurait pas milité en vain pour instruire les ouvrier afin qu’ils soient capables de choisir leur destiné.
J’ai le souvenir d’un grand inconnu du public qui s’appelait Roger Lerda, duquel j’ai appris la révolte des canuts à Lyon aux cries de « vivre libre ou mourir en
combattant ».
Oh ! Ils n’étaient prisonniers de personne seulement de leur 18 heures de travail et de leur pauvreté.
C’est de lui que j’ai appris que c’est de la silicose dont mourraient les mineurs qu’est nait la mutualisation du risque,
car chacun sachant qu’il en mourrait un jour, à son tour
il laisserait sa famille dans la misère et à la seule charité
chrétienne. S’en ai suivit la conquête des assurances sociales qui sont
devenues la sécurité sociales.
C’est de lui que j’ai appris qu’un certain Fernand Pelloutier ex
journaliste de son temps, 1867/1901, crée les bourses du travail pour
émanciper les travailleurs. Pensées comme des organisations
de solidarité, elles sont dotées de divers services de mutualité :
bureaux de placement, caisses de solidarité, caisses de maladie, de
chômage, de décès… et aujourd’hui Sarkozy nous explique
que cela est de l’assistanat qui grève la dette.
On y trouvait aussi des bibliothèques destinées à permettre aux
travailleurs de mieux comprendre leur situation par les lectures d’Adam Smith, Proudhon, Marx, Kropotkine, Zola, Bakounine…
Pelloutier y organise également des cours du soir.
Bref il essayait de faire comprendre au monde ouvrier ignorant qu’ils pouvaient par l’instruction s’émanciper de leurs maitres et de leurs pauvretés.
Etrange destin que le notre, qui aujourd’hui sommes soumis aux
maitres de la finances, et votons pour savoir si l’on doit ou non se
choisir le candidat qui serait supposer nous en libérer.
Etrange destin que le notre, qui étant les plus nombreux sans propriété économiques restons soumis encore a nos maitre.
ddacoudre.over-blog.com
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cordialement.