L’étrangeté de l’audience tient surtout aux circonstances de l’arrestation. Présenté par les syndicats policiers, voulant se défendre des accusations d’infiltration, comme un “militant d’extrême-gauche”, Grégory B. est arrêté une première fois le 28 octobre. Plusieurs sources policières, y compris la Préfecture de police de Paris, le présentent alors comme le “ninja” présumé, identifié grâce aux images, avant de redevenir prudente.
Relâché et mis en examen pour l’autre affaire, Grégory B. est arrêté à nouveau quelques jours plus tard, le 5 novembre. Dans l’attente du procès de ce lundi, il passe un mois à Fleury-Mérogis, en détention provisoire.
Résultat : un an de prison dont six mois fermes et les dommages et intérêts demandés par la partie civile. Malgré l’agitation médiatique et l’existence de photos assez nettes, le casseur de la banque, lui, n’a jamais été retrouvé.
ah tiens, pas l’autre ?
et il l’a eu où, son Tonfa le « casseur » ?
avec quelles « convictions politiques » ???
sa condamnation est pour « l »autre affaire" !!!!