au moment de la chanson protestataire, ce genre de glorification aux
relents nationalistes (les vaches made in normandie) ou au moment où les
travailleurs se battaient pour des conditions de travail meilleur(il avait glorifié la fainéantise du nanti) étaient purement
réactionnaires
Dans la campagne
Il reste les traces
De nos deux vélos
Pendant qu’on pédale
Les autres travaillent
Tu parles de « nantis » ; aller à la pèche, en vélos !
" Deux
piliers de la chanson française, donc, enfin celle qui n’avait rien à
dire et rien à raconter en 1968, et là aussi on en a la preuve (en
archives, « les années horreur »).
Pire encore, puisque dans l’une de leurs chansons, ils chantaient ne
pas travailler pour ne rien gagner du tout,
J’ai la fringale
Sors la bière en boite
Le pain le jambon
On est dans la paille
Les autres travaillent
Le pique-nique opposé au monde du travail ; vous êtes ridicule, morice !
« les autres travaillent », chantaient-ils en refrain en
effet à l’époque. Pas eux, alors, était-on tenté de penser ! A noter
dans la même chanson l’apologie du vol (de cerises) : bel exemple pour
la jeunesse d’alors
Quoi que l’on fasse
Le fermier d’en face
A les yeux sur nous
Mets les cerises
Là dans ma chemise
Et rentrons chez nous
Quelle anarchie : quel funeste exemple ; aller chaparder des crises !
Autant on peut dire à juste titre que ce n’est pas un monument de littérature, mais il ne s’agit que de CHANSONS. Votre parti pris pour justifier votre procès d’intention, tourne vraiment au ridicule, là, morice.
Enfin, c’est vous qui en assumez la responsabilité ; mais quelle mauvaise foi !