Bonsoir Caramico,
Je comprends votre frilosité en ce qui concerne l’univers des coachs. Le terme est galvaudé et utilisé à toutes les sauces (comme celui également de thérapeute).
Toutefois, il s’agit d’un métier dont l’éthique mérite d’être reconnue. L’université et le CNAM préparent à l’exercice du métier de coach qui est est représenté par des organisations qui font preuve d’une réelle déontologie. A côté de cela, il est vrai, beaucoup de strucutures privées et de charlatans qui tentent de se faire une part du marché. Alors face à cette jungle, qu’est-ce qu’un vrai coach ? Un professionnel qui a suivi une formation reconnue par l’une de ces principales organisations. Un professionnel qui exerce sous couvert d’un superviseur (tout comme le thérapeute).
Ce professionnel ne maîtrise qu’un art, celui du questionnement. En aucun cas, il ne sait ce qui est bon, juste ou adpaté pour le coaché. Le Coach accepte d’être une sorte d’ignorant. La philosophie du coaching éthique est que seule la personnne coachée détient la réponse à ses propres questions. Le coach n’est qu’un accompagnat qui l’amème à se poser les questions qui lui permettront d’accéder à ses propres ressources.
Enfin, l’idée n’est pas que le coach prenne la place de qui que ce soit. L’idéal est bien entendu que le jeune puisse trouver sa voie avec l’aide de ses parents et des conseillers scolaires et de C.I.O. Toutefois, parfois, cela n’est pas suffisant, le jeune ne sait vraiment quelle voie emprunter. Le coach devient alors une aide possible parmis d’autres, rien de plus.
Cordialement.
Isabelle Buot-Bouttier