C’est tout à fait le droit de chacun de donner son avis sur l’oeuvre publique de Charden.
J’ai moi-même signalé qu’il n’était pas un auteur majeur, et que les chansons de Stone et Charden donnaient dans la varietoche populaire.
Ce n’était pas, à l’époque, ma tasse de thé, loin de là ; personnellement, je n’ai jamais acheté des disques que de Brel, Brassens, Ferré, Ferrat, Barbara, Gainsbourg, JC Vannier (sans compter le blues, le jazz, le reggae, le rock, rythm’n’ blues, world music, etc....)
J’ai vu, sur scène Brassens, F. Leclerc, Brel (plusieurs fois), Nougaro, Ray Charles, Les Stones, etc....
Donc, pas vraiment mon domaine musical.
MAIS je voulais ici rendre hommage à toute une partie de l’oeuvre de Charden que le grand public n’a pas connu (ou très peu) ; Mayflower, certains disques solo, son conte onirique « La baraque au néon », ses oeuvres graphiques (elles ne sont pas, non plus, obligées de plaire, mais ont une valeur), ensemble qui donne à l’artiste sa vraie dimension, au delà des chansons populaires (que perso je trouve gnangnan), qui ont énormément plu au grand public (20 millions de disques vendus, c’est la preuve d’un engouement d’un certain public).
Je ne fais pas partie de ce public, mais ne m’autorise pas, pour autant, à le juger.
Eric Charden aura quand même marqué son époque ; mon hommage est certes surtout amical, mais il s’adresse aussi à l’oeuvre créatrice de l’artiste moins connue.
C’était le but de cet article.
Après, chacun est en droit de penser ce qu’il veut, et de critiquer ; je n’ai accusé personne (pas même le trollage de morice) ; j’ai simplement essayé de défendre l’artiste.
Pour ce qui est des oeuvres graphiques, personnellement, j’aime beaucoup les pastels.. Après, c’est sûr, c’est question de goût...