@ Ulysse :
Je connais l’UPR et F. Asselineau dont je partage la justesse de ses analyses. Mais je n’ai pas voulu en parler dans cet article, car comme vous pouvez le constater avec l’intervention de Jaja, les petits affrontements de partis reviennent sur le tapis. Il faut avant tout pousser les gens à s’interroger, non sur l’individu, mais sur les idées. Les ralliements (à Asseineau ou à d’autre, je ne suis bien entendu pas fermé) se feront naturellement. De plus, il n’y a qu’à voir le traitement médiatique de la candidature de F. Asselineau pour voir la difficulté de faire avancer politiquement ces idées. Il n’y a que le terrain, l’associatif, et la rue qui nous sortirons de la panade.
@ Jaja,
Je ne sais que parti vous défendez, sûrement le NPA, mais votre point de vue que je respecte n’est pas le mien. Je vous suis à 100% pour lutter contre le capitalisme financier. Mais le communisme n’est pas la solution. C’est une idée qui prône également la disparition de l’Etat, et donc de la Nation.
Je pense réellement qu’un capitalisme social est à construire. Un capitalisme qui bénéficierait au plus grand nombre, ou le long terme serait privilégié sur le court terme. Ou l’intérêt de la société serait pris en compte. Tout est une question de critère que l’on met en avant.
Enfin, pour votre référence à l’immigration, aux sans-papier, etc... je ne peux que vous conseiller de réfléchir sur les origines de cette immigration incontrôlée (mais voulue sciemment), sur les dégâts qu’elle peut faire tend dans le pays de destination (notre système social va-t-il survivre et pouvoir accueillir tout le monde ? Pourquoi croyez vous qu’en ce moment Draghi ne cesse de faire des déclarations pour dire que le système social européen est mort ?), que dans les pays d’origine. Je donne des clés dans cet article. Les clés pour que nous arrêtions de nous taper dessus, et pour que nous fassions chacun un pas vers l’autre. Sinon nous l’aurons toujours dans le baba. A vous de voir...