Bonne idée ! une demi année sabbatique pour se trouver.
Mais une sutre solution ne résiderait pas dans la facilitation des réorientations en mettant en place des « ponts » entre fillière mêmes bien différentes.
Mon expérience en Suisse : dans ma classe d’ingénieur (polytechnique, un mix entre une école d’ingé type française et Polytechnique Paris bien plus élitiste) il y avait tout autant des matheux pur jus (maturité scientifique comme on l’appelle en Suisse) que des gens moins sûrs d’eux (pas que les matheux soient vraiment surs d’eux même, mais le système scolaire est ainsi fait que les amtheux sont souvent favorisés car les fillières les plus sures sont celles qui font appel aux maths) qui ont passé un bac littéraire (maturité latine) mais aussi des CAP/BEP (apprentissage professionnel à la sortie de 3ième).
Ceci pour dire qu’en France il y a un clivage qui se créé très tôt et qu’il est ensuite impossbile ou du moins très difficile de surmonter. Enfin, c’est mon avis. Il faut arrêter de dénigrer les autres fillières (ex STT/STI mais aussi les CAP et autres BEP). Ces àtudiants ont plutôt un avantage sur ceux qui ont suivi le cursus « général » puique ont une bien meilleure idée du monde du travail.
Il est illusoire selon moi de penser que tout jeune, s’il est bien coaché, orienté ou quoi que ce soit, fasse LE bon choix pour son avenir.
Mais cela n’enlève en rien le problème des places de travail qui se « tertiairisent ». Je trouve lamentable que IKEA ait remplacé les ébénistes par exemple. Il faut une réelle volonté politique pour revaloriser le travail.