Ouai, en fait, il est roi des « français » et pas de roi de « france », et la différence historique est d’importance....Espérons qu’il ne confondra pas.
Et donc il va faire la politique du possible là où il n’a pas le choix, c’est à dire une certaine orthodoxie financière vis à vis de l’extérieur. La vraie question c’est à l’intérieur. le partage des sacrifices. D’après ce qu’il a annoncé, ce sera une politique socialiste type, ou on tape sur les autres au bénéfice de sa propre clientèle et dans une souveraine indifférence aux urgences sociales sauf quand elles deviennent trop visibles, moyennant quoi on met un emplâtre sur les jambes de bois, genre RMI, qui a permis d’enkyster des catégories entière dans la pauvreté en se constituant une clientèle, là ou les mêmes sommes en diminution de charge auraient pu permettre une réintégration dans la société.
Parmi ceux qui ont un peu d’argent, malheur donc à ceux qui sont les moins organisés, les moins syndicalisés, les moins revendicatifs. J’ais vu cela au Ministère des finances. Pour les ajustement budgétaire, on fait à la luche en visant là ou on pense qu’il y aura le moins de réactions. Cela promet. C’est à priori le splus« sages », ceux qui payent dejà le plus et guelent le moins qui vont le plus souffrir...
Tient, par exemple, les familles nombreuses, parce que pour manifester, il y a le problème de lagarde des gosses...
Mais tous cela, c’est du court terme. Il va surtout revenir dans la droite ligne miterrandienne du Ni Ni, annoncée par le fait qu’on retourne strictement en arrière sur beaucoup de réforme de sarko. On ne fait pas plus, ou moins, on revient terme pour terme à la situation ex ante.

En apparence, cela répondra aux attentes, ni de la France ni des français, mais bien à celles du « peuple de gauche », épouvantablement conservateur par nature.

C’est cela qui est grave. Hollande nous annonce une ère de brejnevisme. En Russie, on a appelé cela la « stagnation ».