A la lecture de votre article et après avoir vu le film d’AL Gore, je constate que vous faite partis de septique du réchauffement climatique du aux gaz à effet de serre.
Le principe des courants sous-marins est très bien expliqué dans le film.
Par ailleurs il parle aussi des fréquences des variations de climat.
En effet les prélèvements de carottes glacières effectués aux pôles correspondent à quelques 600 millions d’années, les scientifiques ont mis en évidence une corrélation entre le taux de CO2 et la température moyenne à la surface du globe, ce qui leur a permit d’établir les fréquences de réchauffement et de refroidissement.
Nous serions à priori en fin de cycle chaud.
Le seul problème c’est qu’ils montrent que nos rejets de CO2 dans l’atmosphère ont un croissance exponentielle depuis les années 1850 ce qui correspond à peut de chose près à la première ère industrielle.
D’autre part il semble que la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère dépasse la centaine d’année, à tel point que si nous stoppions immédiatement nos émissions de CO2 nous ne reviendrions à un niveau post ère industrielle que dans une centaine d’année.
Car la terre à emprisonnée au fur et à mesure des siècle de très grande quantité de carbone sous toutes ses formes et qu’actuellement nous sommes en train de les libérer plus rapidement que la capacité de la terre à les emmagasiner.
Cela se traduit par le réchauffement planétaire.
Alors même si j’ai quelques doutes à propos des causes du réchauffement et que votre argumentation à base de trigo et tout à fait recevable très documenté, je vous rappellerai une dernière stat du film, sur l’ensemble des publications scientifiques publiée à propos du réchauffement climatique, un échantillon de 900 rapports a été prélevé et sur cet échantillon aucun rapport ne contredisait le fait que le CO2 soit à l’origine du réchauffement climatique.
Par contre il a été fait de même avec les articles publiés dans la presse et là environs 40% ces articles remettent en cause les conclusion scientifiques.
Donc je crois bien que nous sommes en train de faire cuire notre planète à feu doux à cause du CO2 que nous rejettons.