Hello Alberto !
Merci ! Le compliment me fait rougir et augmente ma tension, elle mesure 330 volts ! J’ai la tête qui enfle...
Je vais essayer de répondre au casse-tête que tu jettes dans le débat... Pas simple, une vraie peau de banane. Mais comme disait feu Marchais : Ct’une excellente question. !
C’est toujours pareil quand j’ai du mal à répondre je gagne du temps.
Bon jetons-nous à l’eau : C’est quoi la question déjà ?
Ah oui ! Au nom de quoi la BCE ne peut-elle pas prêter directement aux états ?
Son statut l’en empêche et les accords internationaux qui la créèrent obligent leurs signataires a ne pas faire appel à ses services. Une manière très hypocrite de ne pas recourir à l’inflation et d’enrichir les banques privées.
Voici qui permet d’affirmer que ceci et le reste de ton questionnaire répondent au nom de la finance et du libéralisme, connus sous la douce appellation de compétitivité qui fait naître les niches fiscales, et de temps à autre de règle antimonopolistique qui balaie les nationalisations, les services et la fonction publics,
En vérité il faut bien le dire : une montagne de détritus qui camoufle, protège, absorbe et digère la concussion, la corruption, la pourriture et le grand banditisme financier international.
Bien sûr que le TSCG est un détonateur et que le peuple en ébullition va bientôt trancher le goulot de la nasse aux étrilles.
Si Beluga Premier ne rentre pas triomphant de la « waschmaschine » (machine à laver) comme les allemands surnomment l’immeuble qui abrite la Chancellerie, il peut craindre pour la victoire du PS aux législatives.
Je me demande si, après tout, la lavandière laissera filer cette occasion de prêter main forte aux zélateurs du sortant, ce thuriféraire émérite du grand capital.