Pas de démonstration, pas d’explications, pas de discours, c’est la méthode de tous ces régimes financiers européens et de leurs médias à la botte qui lancent systématiquement leurs incantations dites de vérité, mais de terreur.
Ils réduisent au maximum les droits politiques des citoyens pour éviter tout risque de refus de leur stratégie d’appauvrissement et de pillage, de fédéralisation pour centraliser les pouvoirs du continent, loin des citoyens, mais sont malgré tout obligés de maintenir un certain niveau de plébiscite puisque c’est des votes des citoyens qu’ils tirent leur légitimité d’autorité.
C’est alors que lorsqu’il nous faut voter, on nous dit qu’on a le choix entre 2 modèles (tout est blanc ou noir), mais qu’en réalité on nous dit qu’il n’y a pas le choix parce-que si nous refusons ce qu’ils préconisent tout sera perdu, nos emplois, nos ressources, nos niveaux de vie et que ce sera la grande plongée dans l’inconnu, sous-entendu de la guerre et de la mort.
Et les années passent, et tout s’aggrave, les inégalités se creusent, le chômage monte, les scandales se développent et sont relativisés, et une minorité s’enrichit de manière exponentielle au détriment d’une majorité qui perd ses droits économiques. Et nos droits politiques sont transférés de plus en plus aux eurocrates de telle sorte que les marges de manoeuvre de nos dits élus disparaissent.
Il est grand que les citoyens disent non et balayent tous ces discours de fatalité qu’on nous ressasse depuis 20 ans. Il n’y a de fatalité que dans un système despotique ! où les moyens d’action sont verrouillés et dans les mains d’une minorité. C’est une situation de fatalité contre laquelle est né le droit inaliénable d’insurrection comme définit dans la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, car en vérité, contre la fatalité, l’Histoire nous a enseigné que « du législateur tout s’accomplira », c’est-à-dire tout peut s’accomplir, rien n’est impossible.