Onetimeuser
Préliminaire
Mon commentaire auquel se rapporte votre
réaction semble avoir été supprimé de la plate-forme citoyenne d’agoravox. Je
n’ose pas penser qu’une telle décision ait été prise à l’initiative personnelle
d’agoravox, car je ne vois pas ce qui aurait pu valablement motiver cette
décision. Ce serait une censure mal placée.
Je n’ose pas non plus penser que c’est à
votre demande que cela se soit produit, car vous dites vous-même qu’il n’y a
rien de méchant dans votre démarche.
Mais pourquoi même faire allusion à la
méchanceté ? Serions-nous dans un champ de coupeurs de têtes ? C’est une
curieuse façon de réagir. Cela fait penser aux lobbies homosexuels qui montent
la garde dans tous les coins de la société, surveillent les médias, exercent des pressions sur la classe politique
et intentent des procès extravagants à tout va sous la terrible accusation
d’« homophobe ».
Il faut donc prendre la précaution de
souligner qu’on peut réprouver l’homosexualité et le dire tout en respectant
l’humanité des personnes pratiquant cette forme de sexualité, c’est-à-dire sans
être homophobe.
Entrons maintenant dans le vif du sujet.
L’homosexualité dans la Grèce antique.
La société grecque antique était une société
patriarcale esclavagiste organisée en cités. La cité grecque était exclusivement
masculine. Je dis bien « exclusivement masculine » car la femme, en
tant que femme, était marginalisée.
Dans la cité grecque antique, l’homosexualité
masculine était la
seule forme institutionnalisée de sexualité. Dans la cité grecque antique,
l’homosexualité masculine était la base de l’éducation, de la culture et de la spiritualité.
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