Inutile de commenter ce torchon, mais plutôt, la curieuse initiative de le mettre en ligne, et même de persister, au fil de cet entretien haletant.....
Quelques frappes de missiles auront suffi à faire dégager en quelques heures autour de Sarajevo une armée avinée, qui trouvait plus de courage face à de pauvres femmes et à des gamins.
La seule utilité de cet article, si on peut appeler cette retranscription propagandiste, c’est de nous rappeler qu’il y a tout de même des gens pour les soutenir.
Qu’aucun examen de conscience n’a entamé la bêtise des nationalistes et des bas du front, qui préfèrent sans doute le mensonge que d’être confronté à la réalité.
Je leur souhaite bon courage avec leur conscience.
On peut tenter de tromper les autres, mais l’on arrive pas à se mentir durablement à soi-même, hormis il est vrai quelques vrais paranoïaques, qui se serviront justement de quelques tribunes de ce genre, pour se vacciner de nouveau contre le moindre doute : Les détracteurs, dont je fais partie, les bétonneront de nouveau dans leurs accents victimaires et révisionnistes.
Et c’est ce qu’ils cherchent pour pouvoir continuer à fonctionner de la même façon, vérifier de nouveau qu’ils ont raison, puisque tout le monde est contre eux, seuls dépositaires de la vérité et des manipulations dont ils font semblant de chercher à nous convaincre.
Dans le sens, je pense que cet écrit est une tentative de thérapie sauvage.
Mais c’’est un mécanisme de défense qui a ses limites.
J’en ai connu qui craquaient bien des années après. Il s’agissait d’un autre guerre, mais des mêmes horreurs, et des mêmes dénis.