@ Kiouty,
au sujet de « la planche à billets d’antan », comme vous dites, et donc de ce dont parlerait maltagliati, il faut savoir :
Celui qui crée de la monnaie ne crée aucune richesse, il s’approprie de fait, une partie de la richesse produite, nuance. Si c’est l’Etat qui imprime la monnaie, alors, c’est nous tous qui devenons propriétaires de ladite richesse (en réalité, c’est l’équivalent d’une flat tax sur l’argent, une dévaluation).
En revanche, si c’est une banque privée ou un faux monnayeur qui imprime de la monnaie, alors, c’est un particulier qui s’enrichit au détriment de la communauté monétaire (tous ceux qui détiennent de l’argent dans cette monnaie).
On voit donc que les libéraux sont du coté des faux-monnayeurs : leurs seuls critères économiques consistant à rejeter tout ce qui réduit les inégalités et à l’inverse, à promouvoir tout ce qui les exaspèrent.
C’est pourquoi je dis et redis que le libéralisme économique est aussi haïssable que tous les extrémismes de l’histoire. Peut-être le pire, puisqu’il conduit à la ruine écologique de la planète, et ce, sans que jamais aucun libéral ne s’avoue l’être : le libéralisme est un système honteux qui ne peut s’imposer que par la tromperie des peuples.
Ce que fait ici maltagliati.