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Et voilà comment Argo conclut son article,
et voilà à quoi nous ramènent tous ceux qui choisissent le coté « femme » de l’affaire
au lieu de s’occuper du coté politique :
et qu’elles finissent à poil. Et dare ! Ah ! jolités, gredines, comme je les imagine, auréolées d’éclats furibonds, enchevêtrées dans la boue, morsures, ruades, écartelages de croupes, ébouriffures en touffes… J’en convulse ! Et voilà que François tente, allez-savoir pourquoi… un élan à la con… de les séparer… vautre au milieu du ring, s’embourbe… chiffe mollasse. Et vroum ! Qu’elles se ruent sur lui, furibardes… cherchent à lui arracher le slip... ça s’est vu, paraît-il. Cris atroces. Y parviennent ! Oubliés Dominique et Nafissatou ! Carré blanc. La totale Full Monty ! J’en délire… divague… j’essoufle.
On est bien là dans l’excitation imaginaire qui rabaisse les femmes au rang de « poissardes » en se délectant d’imaginer les « combats de harpies ».
Ca a à voir avec le féminisme ça ?
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