Cet article souléve un autre problème, de dimension bien plus inquiétante.
Les puissance de l’information aujourd’hui, par la télé
et par internet, est si grande qu’elle façonne les esprit
des plus jeunes.
En même temps, le monde de la musique et du video-clip
est un monde de concurrence, poussant toujours plus à la provocation, au dépassement des limites, à l’utilisation systematique de l’attrait de l’interdit.
On retrouve ce probleme bien sur dans le rap, dont le niveau de reflexion et de paroles s’est completement effrondré, mais aussi chez toutes les chanteuses dites « lolitas » qu’on déshabille un peu plus, album aprés album. (Briney, Christina Aguillera, Shakira qui se roule dans la boue dans un de ses clips...)
Bref les producteurs donnent à leurs « consommateurs » ce qu’ils veulent et bien au déla. J’irais même jusqu’a dire, qu’ils utilisent -et sont pris -la spirale du toujours plus provoquant.
En toute franchise ce comportement ne menera à rien,
sinon à provoquer des frustrations sexuelles chez les adolescents hommes et des complexes chez les femmes,
et à banaliser l’interdit, la violence, le vol.
En ceux qui concerne le rap et ses paroles , l’effet est encore plus catastrophique, car le creuset « culturel » qui doit servir à l’integration n’existe plus, il a été remplacé par un fracture musicale.
Le rap c’est la version musicale du commutarisme.
Quand nos ancetre ont établis l’idée de liberté d’expression, ils songeaient avant tout à l’expression écrite ( la seule existant à l’époque).
En ce concerne la video, la photo, la musique,
de nombreuse lois ont été crées pour définir les limites de ses libertés, ( droit à l’image, etc....)
Il serait peut être temps d’établir des limites à la dérives des industries dédiées à la jeunesse, la plus puissante de toutes étant celle de la musique et du videoclip.