L’indépendance de notre pays c’est la dissuasion nucléaire. Ou plutôt indépendance est synonyme de dissuasion nucléaire et de rien d’autre.
Un gouvernement qui essaierait de faire de nous un protectorat des USA et de mettre fin à notre indépendance et donc à notre démocratie serait coupable de haute trahison et serait de facto un gouvernement d’occupation, qui nous obligerait à entrer en Résistance totale comme on l’a fait la dernière fois avec les Allemands.
JacquesLaMauragne, ressaisissez-vous ! Avez-vous conscience que vous vous comportez comme un traitre quand vous prônez ce qui serait de facto la fin de notre indépendance ? Si encore vous avanciez un argument, un seul !
Je le dis à tout les pacifistes, à tout les patriotes, les nationalistes, les républicains, les démocrates, à tout le monde, seule la dissuasion nucléaire nous permet d’être libres, elle seule. Toute soumission de la France est volontaire de la part de nos dirigeants, mais au moins on peut en élire des vrais un jour. Ça ne sera plus le cas si on perd notre indépendance. Tout le reste n’est que du vent pour faire croire que notre règne n’est pas coercitif. Le monde est simple, les puissances nucléaires commandent et les autres obéissent ou sont détruites. Les seuls pays qui ont le droit de discuter sont les puissances nucléaires entre elles. Alors quand un homme politique de premier plan dit que cela ne sert à rien, il doit rendre des comptes et s’en expliquer, parce qu’à moins d’avoir des arguments nouveaux trèèès solides, il s’agit d’un cas de trahison.
Rocard doit s’expliquer ! D’ailleurs il ne s’agit même pas seulement de ça, le bouclier antimissile, si Hollande l’accepte, c’est la même chose alors il doit présenter des garanties qu’il ne sera pas utilisé contre la France, et je ne vois pas comment on pourrait garantir cela. Surtout ce bouclier est un acte de guerre contre la Russie ( et contre la France si jamais il peut être utilisé contre notre propre dissuasion). Jamais rien d’aussi irresponsable et amenant le monde aussi près d’une guerre finale n’a été commis et nous en sommes complice si nous l’acceptons.