Il faut reglementer la prostitution, pas l’interdire.
Il faut réautoriser l’ouverture de maison loses, avoir des lieux « assermentés » et controlés ou travaillent des femmes et des hommes de leur plein gré.
En parallèle, il faut accentuer les poursuites sur les réseaux mafieux qui font un véritable traffic d’etre humain. En plus, avec « l’offre légale », ces réseaux perdrons en compétitivité et intéret.

La prohibition de la prostitution ne fait que favoriser l’esclavage par les groupes mafieux qui ont le monopole de ce « marché ». Il faut etre responsable et arreter de se voiler la face, et assumer le fait que le commerce du sexe fait parti du paysage, et cela fait l’encadrer pour le rendre le plus digne possible pour toutes les parties.

Il faut arreter avec ce puritanisme malsain qui ne règle pas (voire aggrave, amplifie) certain « maux » de notre société, et cautionne de fait les mafias qui organisent un véritable marché noir générant des milliards qui financent le crime et le terrorisme, au lieu d’alimenter les caisses de l’Etat pour contribuer au bien-etre de ses citoyens.

L’Etat a bien d’autres missions que de prendre des mesures antidémocratiques bridant la liberté de choix des citoyens. Qu’y a t—il de mal qu’une femme (ou un homme) decide, de son propre chef, pour son propre compte, de marchander une prestation sexuelle a une autre personne qui, pour diverses raisons, est demandeur de ce service ?

Cessons cette hypocrisie qui enferme clients et prostitué(e)s dans un cercle vicieux et favorise les situations inhumaines, puisque tout se passe hors de controle (ou plutot celui des mafias). Il faut laisser travailler les prostituées volontaires dans de bonnes conditions, et libérer les prostituées esclaves des mafias. Ayons une vision réaliste et non tronquée de la situation.